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voye le Maitre (le Police, pour luy
sig-niiier, que S. M. luy defend 1’approche
de la Cour et d’aucun lieu, ou les
Per-sonnes Royales peuvent se trouver, et sont
censées de se rendre, et ne veut borner
qu’å cela son juste ressentiment des
pro-pos indecens que le Roy sait qu’elle s’est
pennis sur son compte, et cela par
é-gard pour son vieux digne pere*); mais
pour ce qui etoit du bannissement de la
Cour, il en devoit la justice ti son
au-guste Epouse, a laquelle el le avoit
ap-partenu å titre de dame d’honncur, mais
a laquelle en manquant au Roi, Elle a
manqué tout depuis le retour de S. M.
non moins grossierement. Le Roy avoit
inis par ecrit et de sa propre main les
mots ä la bouclie de M1 de Liljesparre.
II execute sa commission verbalement.
La Dame deinande plusieurs explications
pour se bien mettre au fait des intentions
de S. M. au sujet de restrictions plus
ou moins fortes, renfermées dans son
ordre. 11 s’entortille dans ses reponses
vient faire rapport au Roy et S. M.
le renvoye une seconde fois a la Dame
luy faire lecture en ilein de tout 1’ordre
*) ltiksrädet Stockenstrom. Han dosr tre
veckor efter denna händelse, den 23 Febr.
1790, nära 87 år gammal.
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