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circonstances douloureuses un adoucissement à ses peines, et j«
désire de trouver des occasions plus propices pour lui prouver
qu’elle sera toujours également vive et sincère. J’ai chargé
Mon Général-Major de Schwerin d’exprimer en Mon nom ce*
assurances à Votre Altesse Royale. Je La prie d’y ajouter foi,
et d’être convaincue des sentimens d’amitié avec lesquels je suis
»Madame Ma Cousine,
de Votre Altesse Royale
le très-affectionné Cousin
Berlin le 15 Juin 1792. FREDERIC GUILLAUME.»
»A Son Altesse Royale Madame la Princesse de Suède *).»
Tilldragelserna under de fyra âr, som kronan
tillhörde Gustaf Adolph, men spiran fördes af hans
farbroder, Förmyndare-Regenten, höra till Sveriges historia, ej
till taflan af den förres första lefnadsar. Under det
Hertigen och Reuterholm den ena dagen fyllde fangelserna med
*) Alla Ryssars Sjelfherrskarinna besvarade underrättelsen om
Gu-slaf III:s död, genom följande handbref till hans sons och
efterträdares regerande förmyndare:
’’Monsieur mon Cousin, Les liens d’une proche parenté et
ceux de Tamitié personnelle qui m’unissoient au feu Roi votre Frère,
de glorieuse mémoire, sont garants à V. A. R. de la douleur que
j’éprouve en apprenant sa mort prématurée.
**Je ne puis qu’applaudir à la sagesse des dispositions que ce
monarque infortuné a fait avant que de quitter la vie, et par
lesquelles il a laissé la tutelle du jeune Roi son fils et son hérétier à
V. A. R. J’accepte avec confiance et. sensibilité les assuranees
qu’elle me donne des soins qu’elle va prendre de cultiver dans le
jeune Monarque les sentimens que le Roi son Père me portait et
qui assuroient réciproquement le bonheur et la bonne harmonie
qui doivent régner entre nos états respectifs. Je lui offre en
retour toutes celles qui peuvent lui répondre du concert le plus
efficace et le plus assidu à tout ce qui peut assurer la prospérité de
sa régence. Je la prie de les recevoir comme le gage des
sentimens particuliers d’estime et d’amitié avec lesquels je suis
“Monsieur mon Cousin,
de Votre Altesse Royale
la bien affectionnée Cousine et amie
à S:t Pétershourg le 4 Avril 1792. CATHERINE.’*
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