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intet varit utur sina rum. B&de hans tillstånd så väl som min
egen svaga helsa förbjuda mig att tänka på den glädje jag skulle
eriara, om jag än en gång vore så lycklig och finge se
Kronprinsen.
»Med oaflåtlig vänskap och tillgifvenhet har jag -den äran vara
Miu kära Cousins
Ödmjuka tjcnarinna,
Hedvig Stenbock.»
BILAGAN N:o 42.
Ytterligare detaljer’ om KronPrinsens resa meddelas
i följande bref till Guvernören frän Kavaljeren
Öfver-sten Baron Wachtmeister :
»Linköping ce 25 Juin 1786.
»Monseigneur.
»V. E. voudra bien me permettre de lui faire une relation
de notre voyage jusqu’ici, qui est allé le plus heureusement du
monde, sans aucun accident fâcheux. Notre petit Prince se porte
à merveille. Nous sommes arrivés à Nyköping à 9 heures du
soir, ou nous avons été reçus à la porte de la ville par les
Prêtres et les Bourgeois. L’aumônier de la ville aussi bien que le
Bourgmaître ont harangué le Prince, qui les a fort joliment
répondu l’un et l’autre.’ La soire’e étoit si belle que j’ai propose’
au Prince s’il ne vouloit pas descendre de la voiture et se
promener à pied jusqu’à la maison du Gouverneur, où nons, étions
logés, afin que les habitants de la ville pouvaient tous le voir.
Le cortège fut très-nombreux» Le Prince se fit servir son
souper d’abord en arrivant et se couchait tout de suite après, et
donnait parfaitement bien jusqu’à 7 heures du matin. A 8
heures du matin notre départ fut fixe’. Le Gouverneur Ornskjöld
invita le Prince de prendre un déjeûner à Stafsjö. Le Prince
ne s’y arrêta qu’une demi-heure, et nous sommes arrivés à
Norrköping chez Madame de Rosen à 2 heures précis. Elle étoit
toute transportée de joie de revoir son petit Prince, qu’elle
trouvait charmant tout à fait. Il faut que je lui rende la
justice de dire à Y. E. qu’il étoit aimable on ne peut pas plus,
et d’une politesse très-distinguée envers tout le monde. A
Norrköping il ne fut pas moins harangué des Prêtres «t des Bour-
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