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de ménage que judicieuses et vastes dans celles de Tétât. Je
crois qu’il est inutile et très superflu de vous assurer de
mon estime, c’est un sentiment que vous forcez vos plus
grands ennemis de vous porter; mais vous devez être aussi
persuadé de mon amitié que de ma confiance. C’est avec
ces sentiments que je suis
Monsieur le comte
Votre très affectionné ami
Gustaf.
ce 3 d’Avril 1768
à Ekokund.
Si vous voulez me faire réponse d’abord, envoyez ce
soir faire dire au jeune Leyonstedt, un de mes pages, qui
doit venir ici demain, d’aller quérir votre réponse (Il loge
dans la vieille banque) mais s’il est parti, Wannoch part
mardi de la ville avec mes carrosses, il pourra m’apporter
aussi votre réponse.
XXXIII.
Egenhändigt bref frân fältmarskalken grefve Axel v. Fersen till
konung Gustaf III; dateradt den 5 April 1768 l).
Monseigneur!
J’ai reçu ce matin, vers les une heures à Ulrichsdalla
lettre dont Votre Altesse royale a bien voulu m’honorer, et
je n’ai rien de plus pressé à mon réveil, que de Vous
marquer, Monseigneur, ma respectueuse reconnaissance du
degré de confiance, dont il plait à Votre Altesse royale de
me distinguer. C’est dans ces cas où un sujet fidèle a lieu
de se plaindre de la foiblesse de ses lumières; c’est là le
mien en cette occasion.
’) Efter original-conceptet, bland riksrådet grefve A. v. Fersen* efterlemnade
papper.
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