Full resolution (TIFF) - On this page / på denna sida - Sidor ...
<< prev. page << föreg. sida << >> nästa sida >> next page >>
Below is the raw OCR text
from the above scanned image.
Do you see an error? Proofread the page now!
Här nedan syns maskintolkade texten från faksimilbilden ovan.
Ser du något fel? Korrekturläs sidan nu!
This page has never been proofread. / Denna sida har aldrig korrekturlästs.
affreux pour moi, et je n’aurois de repos que lorsque je me
retrouverai dans ses bras. Je n’attends que l’arrivée du
baron de Scheffer pour partir d’ici, et je prendrai le chemin
le plus court, qui est par Wesel à Stralsund; je verroi
encore une fois Brunsvic, où je trouveroi une tante qui, après
vous, ma chère mère, m’est bien chère. Je souhaiterais
fort de voir le Roi de Prusse; j’en ai déjà écrit au Sénat, x
pour savoir son avis, et c’est après ce qu’il me répondra,
que je me réglerai.
D’ailleurs l’amitié du Roi de France ne s’est point
démentie dans cette triste occasion, et je vais revenir,
puissamment secondé par lui.
Je me recommande aux bontés de ma chère mère, et
à sa tendresse; elle m’est d’autant plus précieuse, que vous
êtes la seule amie qui me reste. C’est avec ces sentiments
que j’ai l’honneur d’être, avec le plus tendre attachement
Madame
de Votre Majesté
le très humble et très
obéissant fils et serviteur
ce 10 Mars 1771. Gustav.
XLVII.
Egenhändigt bref från konung Fredrik II i Preussen till hans
syster, svenska enkedrottningen Lovisa Ulrika; dateradt den
5 April 1771*).
Ce 15 Avril 1771.
Ma très chère soeur. J’entre, ma chère soeur, dans la
situation douloureuse, où vous vous trouvez. Je ne suis pas
étonné, ayant le bonheur de vous connoître, combien vou l
l) Efter originalet, bland enkedrottning Lovisa Ulrikas efterlemnade papp
F er 8 en. Hist. Skrifter. III. 26
<< prev. page << föreg. sida << >> nästa sida >> next page >>
