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Mais, me direz vous, Monsieur, M:r le duc de Richelieu
ne détache point de corps vers les Suédois, et c’est là le
noeud de la grande difficulté; en ce cas il y auroit moyen
de l’y forcer en s’approchant de lui et je suis bien
persuadé que cette manoeuvre étonneroit l’Europe, feroit un
bien infini en France et à Vienne, et ranimeroit l’armée
françoise.
Il est tems de finir. Je vous demande pardon, mon
cher comte, de ce que je me mêle d’un metier que je suis
dispensé par le mien d’entendre. Je pourrais dire pour
me justifier que je prends le ton de notre public, mais je
n’aurois pas voulu m’émanciper à son exemple vis à vis de
vous, si votre amitié ne m’y avoit été excité et ne
m’assu-roit de quelque indulgence de votre part.
J’ai l’honneur d’être avec un considération très parfaite
Monsieur
Votre très humble et très
obéissant serviteur
Hôpken.
VII.
Egenhändigt bref frân riksrådet grefve Ekeblad till
generallöjtnanten grefve Axel von Fersen; dateradt Stockholm den 22
November (1757)l).
à Stockh. ce 22 Novembre.
Parmi les différents rapports qu’on reçoit ici de notre
armée, il y en a, mon cher comte, qui par l’impression
qu’ils peuvent faire, et par les raisonnements qu’ils occa
sionnent, paroissent mériter de vous être confiés, sous le
sceau cependant du plus grand secret. Je me bornerai
aujourd’hui à vous communiquer deux remarques qu’on a *)
*) Artalet fattas, men af innehållet synes, att brefvet måste vara skrifvet
1757. Efter originalet bland K. It. grefve A. v. Fersens efterlemnade
papper.
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