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mais à des jeunes gens qui viennent s’y
préparer aux grades et y compléter leurs études
classiques, à des hommes mûrs cherchant
soit une instruction générale, soit aussi
quelque étude particulière poussée jusqu’aux
détails et aux applications techniques. Je suis
heureux de me trouver d’accord sur ce point avec
M. Baudrillart, pour combattre l’opinion des
savants qui désireraient voir les cours de nos
facultés des lettres se spécialiser pour former
des érudits et des philologues:
«Les facultés des lettres, dit l’éminent
académicien, ont, surtout à Paris et en province,
un auditoire de fonctionnaires, de gens de
loisir que je ne voudrais pas en écarter.
Songeons qu’il n’y a que là qu’il soit question de
choses générales. Là seulement, on entend
parler sur la philosophie, la littérature,
l’histoire. Une direction purement spéciale, portant
sur des points excellents pour faire des thèses
de doctorat, serait l’exclusion de ce public que
je ne puis me résigner à traiter comme un
profanum vulgus. On lui fermerait une source
de lumières, j’allais dire un foyer de chaleur
morale, et il n’y en a pas tant en France. Il y
a plus d’avantages que d’inconvénients à ce que
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