- Project Runeberg -  Mindeskrift i anledning af hundredaaret for Japetus Steenstrups fødsel / XXIX. Anatomie des clausilies danoises les organesgénitaux par C. M. Steenberg /
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(1914) Author: Hector Jungersen, Eugen Warming
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C. M. Steenberg: Anatomie des Clausilies danoises.

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du test. — La glande est formée de nombreuses pochettes, relativement petites et ciliées
à l’intérieur, qui aboutissent à un canal excréteur (ce), également cilié, se dilatant en
sa partie inférieure. Les tubes glandulaires (fig. 5) sont extérieurement revêtus d’une
membrane où l’on aperçoit des noyaux très oblongs et étroits; elle est en outre, chez Cl.
laminata, fortement pigmentée. A l’intérieur apparaît une série de cellules glandulaires
volumineuses dont les grands noyaux, comblés de chromatine, se trouvent placés dans la
partie basale des cellules, adjacente à la membrane. Dans l’intérieur, vers la] lumière,
se trouve une couche de plus
petites cellules ciliées se
colorant d’orange ; celles-ci s’avancent
comme une sorte de cellules de
soutien entre les cellules
glandulaires. Elles sont, cependant, par
endroits, superficielles, et
acquièrent ainsi une certaine
ressemblance avec les cellules
centro-acineuses des extrémités
sécrétantes des tubes glandulaires du
pancréas chez les mammifères,
comparaison qui avait pour la
première fois été faite par MM.
Cava-lié et Beylot pag.2975. Les
cellules glandulaires aboutissent entre ces cellules. La structure du canal excréteur est
analogue à celle des tubes glandulaires; seulement, les cellules sont plus régulièrement
situées et à peine aussi élevées; les cellules de soutien sont munies de long cils vibratiles.
— Le plus souvent la poche de fécondation toute entière ou, en tout cas, sa partie
inférieure est cachée entre les tubes de la glande albuminipare.

Le spermoviducte et l’oviducte libre. La poche de fécondation se continue dans
le spermoviducte, le canal séminal et l’oviducte réunis. Comme la conformation
de celui-ci se comprend mieux par une comparaison avec les phénomènes de structure
de l’oviducte libre («Uterushals» de Wiegmann) — il faut entendre par là, la partie
du conduit génital femelle, située entre le lieu de naissance de la poche copulatrice et
du canal déférent — il est donc nécessaire de l’examiner en premier lieu.

Chez toutes les Clausilies analysées, il se montrait déjà, à l’extérieur, une
dissemblance entre la partie inférieure et la partie supérieure de l’oviducte libre. La première
section est étroite et cylindrique, la dernière large et aplatie avec une différence distincte
dans la composition des parois des côtés. Si l’on ouvre l’oviducte libre dans toute sa
longueur (fig. 6), on verra que la partie inférieure est d’une structure uniforme, mais, vers

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Fig. 5. Tube de la glande albuminipare chez Cl. laminata.
x 700. ce canal excréteur.

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