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Mindeskrift for J. Steenstrup. XXIX.
à celle du corps, mais les éléments y étaient moins élevés et relativement plus larges;
de fins liteaux longent en outre les bords de la queue. Les deux sperma-
tophores avaient une
longueur de 7 mm et 8 mm,
37. La partie la plus large
«le corps» mesurait à sa
région la plus élevée 0 mm,
7 et 0 mm, 74 et avait
une longueur d’environ
2 mm.
Fig. 13. Crête dorsale du spermatophore de Cl. laminata, X 65.
a du corps, b de la queue.
III. Description des espèces individuellement1).
1. Cl. laminata Mont. (Fig. 14).
La glande hermaphrodite, d’une longueur d’environ 4 mm, 5, se compose de 7—8
faisceaux d’acini qui sont fortement pigmentés, spécialement au sommet. Les grands
acini ont une longueur de 1 mm, 16, les petits de 0 mm, 58. Le canal hermaphrodite
est également pigmenté; il a une longueur d’environ 5 mm, 4, dont la partie enroulée
comprend à peu près la moitié (2 mm, 3). La poche de fécondation (0 mm, 93—1 mm)
se termine par un petit cul-de-sac dilaté, le canal hermaphrodite débouchant un peu
au-dessous du sommet. La glande albuminipare varie de taille, elle est de 2 mm à 3 mm,
7, d’une coloration gris-foncé, d’une constitution légère et incohérente. Le spermoviducte
(7 mm, 25—8 mm) est étroit et court en comparaison de l’autre partie des voies
génitales. Tandis que la prostate est d’une coloration grise tirant sur le jaune, l’oviducte
est gris-foncé, souvent presque noir. Les tubes de la prostate sont nombreux.
L’oviducte libre est long; 4 mm, 5, le vagin aussi: 4 mm, 7; ce dernier a souvent sur sa partie
supérieure, située au-dessous de la naissance de la poche copulatrice, un léger renflement
annulaire. Au-dessous de cet endroit la paroi a une autre nature; chez les exemplaires
vivants elle est semi-transparente et l’on peut, sur ceux-ci, voir, à travers la paroi, des
stries fines longitudinales (des plis).
La poche copulatrice est très développée ; sa longueur totale est d’environ 7 mm.
’) Les mesures indiquées dans la description suivante, ont surtout une valeur comme mesures
relatives, la dimension des organes dépendant beaucoup de leur état de conservation et de leur
contraction. Il ne faut pas oublier que certains organes, tels que la glande hermaphrodite, le canal
hermaphrodite, la glande albuminipare et l’utérus, peuvent être soumis à certaines variations,
suivant l’âge, l’époque de l’année et l’état d’alimentation. Les figures ci-jointes ne rendent pas
superflue la désignation des dimensions, puisqu’on est seulement en partie à même de mesurer sur
les figures, vu que, chez des espèces aussi enroulées que le sont les Clausilies, il est très difficile
— je dirais même tout à fait impossible — à l’exécution du dessin d’avoir toutes les parties au
même niveau.
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