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JARDIN DES PLANTES 295
II n’existe pas de fer sans charbon, et il n’existe
pas de charbon sans hydrogène. Donc Fe = CnHn.
En dissolvant le fer dans un acide, j’obtiens
toujours un résidu de charbon, gaz hydrogène, gaz
hydrocarbure, et souvent une huile fétide (par le
gaz oléfiant C2 H4).
Le fer »renferme» souvent soufre = CH4O soit =
(CH4) soit = 2AzH2.
Le fer »renferme» souvent phosphore: C H3 O soit
= CH2.HO = Az.HO.
Ce qui s’explique.
Le fer brûle facilement, comme un
hydrocarbure C2H4.
J’ai développé dans un tube gradué du gaz
hydrogène et des hydrocarbures avec du fer et acide
sul-furique étendu, sans que le niveau du liquide
baissait, deux jours durant. Donc, se n’est pas l’eau qui
rend l’hydrogène? Ou il y a une commutation lieu,
de façon que le fer donne son hydrogène à l’eau, au
fur et à mesure que l’eau se décompose.
Il n’y a pas de chaux exempte de fer, et pas
de roches calcaires sans rouille. Or, Fe = 56, Ca O
= 56.
M. Troost dit: L’oxyde d’éthylène est analogue
à Ça Ö, si l’on compare le glycol à Ca(OH)2; C2H4
étant un radical divalent, analogue aux métaux
diva-lents.
Donc, Ça Ö, un glycol; Fe analogue à Ca O, aussi
un glycol. Donc le fer, un glycol polymerisé, puisque
un glycol est un éthylène C2 H4, avec deux (Ö H),
et j’ai eu mes raisons en formulant le fer (C2 H4)2.
Or, et en plus C2 H4, est un radical divalent
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