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domliga religiösa »ordnar*, som under olika namn och med olika karakter
förekomma hos en del stammar. 1
Vid sammankomsten var äfven utstäld en samling etnografiska
föremål från Zulu-landet, hvilka sällskapet. inköpt af en svensk, herr Carl
Wennberg, som vistats i Syd-Afrika för utförande af. åtskilligt
byggnadsarbete för dervarande missionsanstalter.
Séance du 16 octobre 1885.
Président: M. le professeur H. Gyldén.
Le président lit une lettre de M. le Dr Gerhard Rohlfs, par laquelle
le célébre vovageur africain, actuellement consul général de l’Empire
d’Alle-magne å Zanzibar, remercie la Société de 1’avoir nommé l’un de ses
membres étrangers, et se met å la möme fois å la disposition de la
Société et de ses membres pour toutes fös choses ou il pourrait leur étre
utile dans la localité quil habite actuellement.
Le président adresse quelques paroles de bienvenue å l’un des membres
correspondants de la Société, M. //. Falkman, de Surabaja, présent å la
séance, et fö remercie de l’intérét qu’il a témoigné å la Société et å ses
tra-vaux, spécialement en lui faisant don å cette occasion-ci de dfeux planches
illustrant la derniére explosion du volcan Smeroe dans 1’ile de Java.
M. C. Bocallius, professeur agrégé de l’université d’Upsal, décrit une
* visite qu’il a faite en 1883 å l’archipel des iles Perlas, situé å
1’embou-chure du golfe de Panama, sur la cöte du Pacifique de l’Amérique centrale.
La conférence de M. Bocallius sera reproduite en entier dans cette Revue.
M. fö professeur G. ron Diiben rend compte d’un voyage au nord de
la montagne de Cameroun entrepris cette année par les explorateurs
sué-dois G. Valdau et K. Knutson, et sur lequel fö premier a envoyé un
• rapport détaillé. (Voir Ymer, 1885, p. 271—301.)
Ce voyage commen^a en mai 1885. Le point de départ était
Ma-panja, sur la montagne de Cameroun, ou les vovageurs précités sont
domi-ciliés depuis deux ans. Leur premier objectif était un village négre,
Ba-lombi-ba-kotta, situé sur une ile du lac Richard. Les voyageurs
consta-térent qu’å l’opposé de ce qu’indiquent des cartes plus anciennés, ce lac
manque d’issue, du moins pendant la saison séche. De lå, ils poursuivirent
leur route jusqu’au lac Mbu ou celui des Éléphants. Ils eurent certaines
difficultés å pénétrer jusqu’á cette derniére nappe d’eau, par suite des
nom-breuses troupes d’éléphants qui rendaient les forets environnantes peu siires,
et dont les négres ont une peur excessive. De Mbu, ils se dirigérent vers
l’ouest, par une route qui jusqu’alors n’avait jamais été suivie par des
bommes blancs. Toutes les cartes publiées jusqu’å l’heure présente, placent
dans cette region une montagne du nom de Rumby. Les voyageurs suédois
constatérent toutefois la non-existence absolue de cette montagne. La seule
hauteur que l’on rencontre iei, est la ligne de partage des eaux, élevée de
350 å 450 metres, séparant le bassin de la riviére du Vieux-Calabar de
celui du Rio del Rev. Ils réussirent å détnrmincr en grande partie le cours
1 Se härom H. H. Johnston, The rirer Cont/n, LoiuJ. 1884. s. 406; R. C. Phillips,
Ynf/.sstf’iimne am < ’aia/a (Deutsche Gcojrr. Blätter, 1884, s. 340), och en uppsats af
löjtnant, P. Möller (Ymer’1884, s. 219).
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