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Erychildes, les Lycaenides et les Pièvides, et quatre chez les
Papilionides et les Hespêvides. Elie est considerablement épaissie
et renflee à la base chez les genres Coenonympha,
Hippav-chia, Epinepkele, Satynis et Pavavga. Enfin, elie possècle trois
ramifications sur les ailes posterieures, sauf chez les
Papilionides, oü elie en a quatre.
La Jiervure transversale située entre les nervures radiale et
ulnaire, ne constitue pas une nervure dans le même sens que les
précédentes, et elie n’est bien souvent due qu’à un
épaississe-ment de la membrane de 1’aile.
La nervure anale est simple, sans ramifications laterales,
tout aussi peu aux ailes anterieures qu’aux ailes posterieures. Elie
est épaissie et renflee à la base dans les ailes anterieures du
genre Coenonympha.
La nervure axillaire manqiie aux ailes anterieures sauf
chez les Papilionides et chez certaines Hespêvides; elie est tiès
peu développée, toutefois, chez ces dernieres. Elie existe au
con-traire aux ailes posterieures dans 1’Ordre entier, à 1’exception de
la famille des Papilionides. Cette nervure est toujours simple.
La nervure dorsale manque chez les Rhopaloccves.
C.-H. Nerén: Siir ini Colêoptêve, du genve Åmar a,
nouveau po ur la Suede.
Messieurs,
Ayant pris la liberte de demander votre attention pour
quel-ques instants, je m’empresse de vous en indiquer la raison. J’ai
eu la bonne chance de decouvrir, dans le Courant de 1’année
derniere, un Colêoptère de la famille des Carabides, nouveau
pour la Suède, ou, comme Linné s’exprime dans plusieurs
en-droits de ses célèbres voyages, »une nouvelle recrue pour
notre Faune». L’entomologie moderne ne parait pas, il est
vrai, considerer des ’ decouvertes pareilles comme quelque
chose de bien remarquable. Cela n’empêche pas, cependant,
que ces trouvailles ne soient indiscutablement beaucoup pius
rares de nos jonrs que jadis, et celle, dont il est ici
ques-tion, me parait spécialement meriter 1’attention des
entomologistes. Cette petite recrue appartient non-seulement, comme j’ai
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