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(seulement un peu pius töt que les autres), et que les
chrysa-lides donnerent des papillons parfaitement formes, si meme un
peu pius petits.
O.-M. Reuter: Sier faccoufi lement chez deux espèces de
l1 Ordre des Collemboles.
Quoique les Podurides, ou 1’Ordre des Collemboles, soient
probablement, par le nombre des individus, Tun des groupes
d’Insectes les mieux représente’s, ces animaux sont toutefois parmi
les moins connus au point de vue biologique. Ainsi, deux
au-teurs seulement, Olfers et Kolenati, ont pu etudier leur
copu-lation, sur laquelle Kolenati ne communique cependant aucune
notice spéciale, tandis que, d’un autre cöté, les publications
d’Olfers dans la matiere contiennent des faits si curieux, que
des auteurs pius re’cents, et spe’cialement M. le Dr Tullberg
dans son excellente biographie des Podurides de la Suède, en
ont cru devoir mettre avec assez de raison la justesse en doute
Olfers indique qu’il a vu Sminthurus aquaticus
s’accou-pler de telle sorte que le mále, beaucoup pius petit, saisissait
de ses antennes celles de la femelie, après quoi il s’élancait
dos à dos sur celle-ci, et était porte plusieurs jours par elie
dans cette position. Les objections de Tullberg à cet égard
sont que, si 1’accouplement a reellement lieu pendant un si long
espace de temps, d’autres observateurs qu’OLFERS auraient bien
du 1’observer; qu’il parait assez etrange que le. màle puisse,
uni-quement par le moyen des antennes, se maintenir le dos fixé
contre celui de la femelle, cette paitie du corps étant convexe
dans les deux sexes; enfin, qu’il parait impossible que dans
une position pareille, 1’ouverture génitale du mále rencontre celle
de la femelle, placée sous le grand segment abdominal convexe.
J’ai, toutefois, été à meme de faire des observations du
genre de celles d’Olfers sur deux espèces de Sminthunis
in-connues jusqu’ici, recemment decrites par mo i sous les noms de
Sm. apicalis et de Sm. elegantulus, et que Ton rencontre sur
les flaques d’eau dormante de la Finlande meridionale. On voit
notamment de tout petits individus de ces espèces, de la
lon-gueur d’environ 1/3 de mm., unis par les antennes, et sautant
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