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8.
Au Camp de Likala le g Juillet iygpt
J’apprends de Rosenstein que tous êtes aux eaux;
j’espère qu’elles tous feront du bien, j’y suis
doublement intéressé, parce que TOtre santé
influe sur Totre bonne humeur. Depuis mon
départ de Stockholm les Muses m’ont entièrement
abandonné. Je n’en ai pas eu la moindre non*
Telle, et je crains qu’elles ne se soient rangées du
parti de leur 6exe, et qu’elles ne soient toutes
contre moi. J’en serais bien fâché, car elles ont
fait depuis long-temps ma seule consolation, et
je m’étais disposé à les cultiver plus que jamais»
depuis que mon étoile a voulu qu’on forçât le
Prince le plus sociable à renoncer à toute société.
Je n’ai pas eu un mot, ni de tous ni de
Clew-berg, ni du théâtre dramatique, et il y a plus
d’un grand mois que je suis parti de Stockholm.
J’espère pourtant que tous romprez une fois ce
profond silence, et que les eaux ne tous
empêcheront pas de m’écrire, puisque je tous
pré-TÎens au milieu de la Russie finoise. Par la date
de ma lettre tous Terrez que nous sommes à ce
fameux et trop célèbre Likala où toute la
conspiration de l’année dernière fut bâclée; si les
murailles de ces maisons pouvaient parler, nous
saurions bien des choses. Cette année, je
l’espère, sera autrement marquée; les troupes et
même les officiers ont un tout autre esprit. En
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