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’^uer, èori ancienne alliée et meilleure amie sé
trouvant hors d’estat de la secourir.
Cependant le seul moyen et l’unique qui reste, dit
on, pour non* tirer d’affaire, ce seroit de nous
mettre bien avec l’Empereur, et que le Roy en
ouvrant avec lüy un commerce amiable ,
vou-hist seconder les bons offices que l’on employé
en sa faveur a la Cour de Vienne, pour qu’Elle
se charge conjointement avec celle de France
de la médiation d’une paix generale. C est sut
quoy l’ofi a déjà expédié a M:r le Comte de
Luc des ordres qui l’attendent a Vienne, et on
m’a prié tres instament de solliciter le Roy de
vouloir bien sans delay donner le§ mains aux
representations de la France, et faciliter ses
efforts, par des démarchés qui puissent achever
d’engager l’Empereur dans les interests de Sa
Majesté, et le mettre en train d’agir non
seulement en qualité de Chef de l’Empire, mais
encore comme un médiateur puissant et équitable
dans tout ce qui regarde la pacification du Nord»
-lExtrait d’une lettre du Comte de Gylleä«
borg Ministre de Suède *) Londres 1«
il Juin 1715. .
j’ay eu l’honneur, Monsieur, dè marquer
*) Till Baroa von Mullern. ferefvet finnss
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