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dhuy par l’inaction de cette cour qui ne la laisse
pas d’en cattser une au Dan:k Nous ne tiendrions
plus en suspens plusieures autres puissances qui
sont a la fut qui ont la puce a l’oreille et qui
craignent ou supposent quelque chose de reel
entre cette cour et nous; tout tes incertitude qui
jusque» icy nous sont auantageuseâ et nous font
au moins gagner du temps Noiis rompions
encore ce qui est Snr le tappis atiec le Roy
Auguste et luy oteriohs toutte enuie de finir qiii
difiereroit bien de la vcue que nous auons de
rendre cet accommodement préalable a ce que
tious souhaittofls faire icyi
Je ne cite qu’en gros et les principaux
in-oonveniens qui resUlteroient du party de tout
rompre^
Du second que j’ay nommé Urt temperament
plus d’ou (doux)* que jfe cômmencëray par dire
que je n’en espere rien* c’est a dire que je né
me flatte point que le Roy nostre maitre y en*
tre jamais* je convieödray hierne qubl ÿ fiuroit
de l’hardiesse a le luÿ proposer* anssy ne seroit’
il pas de mon âuis de prendre sur soy d’ert faire
le conseiller, mais rapporter tout simplement ä
9. M. qu’apres tous les efforts qu*ort â fait*
qu’apres avoir tourné la matiefe dö töUttes lea
laçons on n’en a pu tirer jusques a present àU-*
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