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fonctionnaires par l’entremise de son procureur général élu
chaque année par 48 électeurs désignés à cet effet:
24 pour chaque chambre. Quant aux libertés
communales, jadis très-considérables en Suède, elles
se sont affaiblies pendant les derniers siècles,
surtout hors des villes, au profit de la centralisation;
mais elles ne se sont jamais éteintes. Elles sont
réglées désormais par l’ordonnance royale de 1862.
La plus remarquable des institutions communales
qui ressuscite d’ailleurs, sous d’autres formes, une
institution tombée en désuétude depuis deux siècles
environ, c’est le landsting, dont les attributions,
comme on l’a vu plus haut, ont beaucoup d’analogie
avec celles de nos conseils généraux des
départements.
Chaque diète règle le budget des recettes et des
dépenses pour l’année suivante. Les dépenses en
1841 ayant été de 16,114,320 rixdalers et en 1867
de 38,202,629 r., il y a eu entre les deux époques
une augmentation de 137 p. 100. Le budget de
1874 s’est élevé à 60 millions de rixdalers en
dépenses ordinaires et extraordinaires.
L’organisation de l’armée suédoise est assez
remarquable. Elle se compose de volontaires et de
troupes de circonscription où chaque citoyen sert
de vingt à vingt-cinq ans. Mais il y a de plus un
corps de troupes créé en 1680 parle roi Charles XI,
qui sont cantonnées sur le sol et obligées au service
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