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les impôts, et aucune dépense ne peut être faite
qu’il ne l’ait autorisée.
L’élément et les idées démocratiques se
dessinent de plus en plus en Danemark, et dans le
Rigsdag, comme dans le pays en général, les partis
politiques sont en lutte continuelle. On en distingue
trois principaux: le parti conservateur, le parti
libéral national, et le parti populaire, autrement dit
ami des paysans.
Dans toutes les villes l’administration communale
est composée du magistrat et de représentants
élus (conseil municipal). A Copenhague, le
magistrat se compose d’un président nommé par le roi,
de quatre bourgmestres élus par les représentants
et confirmés par le roi, et de quatre conseillers
nommés par les représentants. Les représentants,
au nombre de 36, sont élus par les habitants de la
capitale. Pour la campagne, il y a la commune du
bailliage et la commune rurale. Toutes les affaires
locales sont placées dans les attributions de ces
conseils communaux.
Les comptes rendus financiers pour l’année 1845
indiquaient pour l’ensemble de la monarchie d’alors
un revenu et une dépense d’environ 17 millions et
demi de rixdalers. Pendant les 6 années de
1866 à 1871, les budgets du Danemark se sont
élevés, en moyenne, à 22 millions et demi de
rixdalers.
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