- Project Runeberg -  Mindeskrift i anledning af hundredaaret for Japetus Steenstrups fødsel / XVII. On the Systematic Position of Æluropis Melanoleukus /
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(1914) Author: Hector Jungersen, Eugen Warming
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by A. Milne Edwards in 1874[1]. From this description he concludes as follows:
“L’ensemble de faits que je viens de passer en revue prouve que l’Ailurope ne peut
être rapporté à aucun des types génériques précédemment connus. Il appartient
indubitablement à la famille des Carnassiers arctoides, dont les Ours sont les
principaux réprésentants, et il ressemble beaucoup à ces animaux; mais il tient encore
plus peut-être des Pandas, et il présente un singulier mélange des caractères
ostéologiques. Ainsi, par le mode d’articulation de la mâchoire inférieure, l’énorme
developpement des arcades zygomatiques, il ressemble aux Félins les plus robustes, et
quelques naturalistes le comparent à l’Hyène; mais la conformation de ses dents
mâchelières indique que c’est en réalité un animal moins carnivore que ne le sont
les Ours. Par leur forme générale, ses grosses molaires tuberculeuses ressemblent
beaucoup à celle de l’Urside fossile désigné sous le nom d’Arctotherium bonariense,
par M. P. Gervais. — Par la disposition de la couronne, le penultième molaire a
beaucoup d’analogie avec les molaires de divers Pachydermes fossiles, notamment du
Choeropotamus parisiensis, et l’on aurait trouvé cette dent isolée, qu’on l’aurait
rapportée à un herbivore pachyderme. Néanmoins c’est entre les Ours et les
Pandas que l’Ailurope doit prendre place dans nos classifications méthodiques, et la
division qui la renferme, me paraît avoir une valeur zoologique plus considérable
que celle de la plupart des genres dont se compose l’ordre des Carnassiers” (pag.
335—6). — This decision of the position of the animal among the Arctoidea is far
less definite than the former of the same author; it is interpreted as an
intermediate form between the two families Ursidæ and Procyonidæ.

A description — unfortunately rather cursory — of the skeleton was given by P.
Gervais in 1875[2]. About the relationship of the animal he writes: “Cette étude
m’a conduit à le rapporter aussi à la famille des Ursides, dans laquelle il occupe
toutefois une place à part, ce que l’on pourrait rappeler en en faisant une tribu
distincte parmi ces animaux”. (Pag. 78). In short, it is to him an aberrant member
of Ursidæ, but not of Procyonidæ.

In his article “Mammalia” in the British Encyclopædia[3] W. H. Flower
regarded it as a true representative of the Ursidæ, but connecting them with Ælurus
(which to him formed a distinct family) and with several extinct genera.

The same place is occupied by Æluropus in W. H. Flower and R. Lydekker:
“Mammals”[4], where it is said: “in the large size and complex crowns of the upper


[1] A. Milne Edwards: Recherches pour servir à l’histoire naturelle des Mammifères. Paris
1868—74, pp. 321-38.
[2] P. Gervais: De l’Ursus melanoleucus. (Journal de zoologie, tome IV, 1895.)
[3] Brit. Encyclopæd. Ed. 9., vol. XV, 1883.
[4] W. H. Flower & R. Lydekker: An introduction to the study of Mammals, living and
extinct. London 1891.

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