Full resolution (JPEG) - On this page / på denna sida - Observations sur la Valeur Systématique de l'Ovule
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ment externe n’a qu’une épaisseur de deux couches de cellules (fig. 10 C, D), excepté
autour du micropyle. Le tégument interne est d’abord mince (fig. 10 C) mais devient
ensuite plus épais (Z)); et comme le nucelle est d’une fapon caractéristique leptosporan-
giate, l’ovule ne différe essentiellement dans 1 ’ensemble de celui des vraies Sympétales
qu’en ce qu’il a un tégument externe forme de deux couches.
Les matériaux dont j’ai disposé pour l’étude de Theophrasta longifolia n’ont pas
été satisfaisants: et le fait est particuliérement regrettable, car l’ovule de cette plante
semble se distinguer en ce que le tégument externe a une épaisseur de plus de deux couches
(3 — 4) et que les deux téguments paraissent se fondre ensemble å la partie inférieure. Pour
le reste, le placenta et la position de l’ovule ne sont pas essentiellement difTérents de ce
qu’ils sont chez les Primulacées. Le placenta ne porte qu’un petit nombre d’ovules (fig. 10 E).
Fig. 11. Myrsinaceæ. — A — C, Maesa rubiginosa. A, coupe verticale å travers un bouton de lleur;
st, étamine. B, placenta; s, masse spongieuse qui environne les ovules. C, un ovule; ie, tégument
externe; ii, tégument interne; se, sac embryonnaire; s, tissu spongieux entourant les ovules. —
D — G, Ardisia crispa. D, coupe verticale de l’ovaire. E, l’ovule qu’on voit en D; ie, tégument
externe; ii, tégument interne; nu, nucelle. F, G, nucelles jeunes.
Parmi les Myrsinacées, j’ai examiné le type épigyne Maesa (fig. 11). Ici le placenta
ressemble å celui des types précédents; mais les ovules sont enfoncés (fig. 11 A, B). D’apres
M. Mez (Nat. Pflanzenfam. 1902, p. 9) ils sont fixes superficiellement chez les Mæsoideæ:
les deux cas semblent done se trouver ici. La forme, la structure et la position des ovules
concordent tout å fait avec celles des plantes citées précédemment; cependant le tégu-
ment interne n’est pas tres épais. Il se forme un épithélium (fig. 11 C).
Un enfoncement encore plus fort et plus complétement des ovules parait avoir
heu chez d’autres Myrsinacées, oii les ovules semblent aussi diverger quelque peu å
d’autres points de vue, par exemple dans V Ardisia crispa (fig. 11 E). Cf. la figure d’ Ar-
disia excelsa dans le »Lehrbuch« de Schacht. Duchartre 1844, pi. VIII, fig. 56. Agardh
1858, tabl. X. Jaensch 1905.
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