- Project Runeberg -  Mindeskrift i anledning af hundredaaret for Japetus Steenstrups fødsel / XXIX. Anatomie des clausilies danoises les organesgénitaux par C. M. Steenberg /
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(1914) Author: Hector Jungersen, Eugen Warming
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C. M. Steenberg: Anatomie des Clausilies danoises.

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est pigmenté. Quant à la structure fine de la glande hermaphrodite elle est dans l’ensemble
la même que chez l’Hélix (voir la fig. 223 de Korschelt & Heider)11. Les œufs se
forment dans l’acinus partout le long des parois; à leurs premiers stades de
développement, ils ont, en coupe transversale, à peu près la forme d’une lentille; ils sont appuyés
contre la paroi et entourés d’une enveloppe de cellules folliculaires. Il semble aussi y
avoir le long du bord quelques rares cellules nourricières. De même que chez les Hélix,
on trouve aussi de grandes cellules basales (répondant à celles figurées par Prowazek)1*,
qui font fonction de cellules nourricières pour les spermatozoïdes et qui ont de
volumineux noyaux remplis de chromatine.

Le conduit collecteur, dans lequel les
courtes voies d’excrétion des acini débouchent,
est très mince et fragile, ce qui rend la
préparation de la glande hermaphrodite dans l’ensemble,
très difficile. Sa continuation directe est le canal
hermaphrodite (ductus hermaphroditicus ; fig. 2
dh). La première section de celui-ci est droite
ou seulement faiblement sinueuse et de petit
calibre, mais elle s’épaissit subitement
considérablement et constitue une quantité de spirales
en zig-zag, très resserrées, réunies par du tissu
conjonctif qui, le plus souvent, est pigmenté. Elle
diminue ensuite très vite de calibre se continuant
comme un conduit étroit peu sinueux qui vient
à la fin déboucher dans la poche de
fécondation («die Befruohtungstasche» de
Meisen-heoier14). Celle-ci est un corps cylindrique
placé sur le côté concave de la glande
albumini-pare. Ce corps est arrondi et un peu gonflé au
sommet libre, tandis que vers le bas il est un peu
rétréci. Le lieu d’accès du canal hermaphrodite
est souvent à une certaine distance du sommet
libre, de sorte que celui-ci constitue un petit cul-de-sac, la vésicule séminale (fig. 2 es),
qui, pourtant, chez quelques espèces, est très faiblement accusée parce que le canal
hermaphrodite n’est parfois qu’un peu plus étroit que la poche de fécondation et débouche
à proximité de sa pointe; le tout prend ainsi l’apparence d’un tube unique qui,
seulement à cet endroit, est brusquement recourbé.

Une coupe transversale du conduit collecteur chez Cl. laminata (fig. 3) montre que
ses parois se composent de cellules épithéliales cubiques ou plates; ce n’est que du côté

Fig. 2. Partie supérieure des voies génitales
chez Cl. plicatula, X 28. ce canal excréteur
de la glande albuminipare, es canal séminal
dh canal hermaphrodite, ga glande
albuminipare, mu canal muqueux, oc oviducte,
p pli interne de l’oviduete, pf poche de
fécondation, pr prostate, se canal séreux,
vs vésicule séminale, / première section
de l’oviduete.

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