Full resolution (JPEG) - On this page / på denna sida - Sidor ...
<< prev. page << föreg. sida << >> nästa sida >> next page >>
Below is the raw OCR text
from the above scanned image.
Do you see an error? Proofread the page now!
Här nedan syns maskintolkade texten från faksimilbilden ovan.
Ser du något fel? Korrekturläs sidan nu!
This page has never been proofread. / Denna sida har aldrig korrekturlästs.
C. M. Steenberg: Anatomie des Clausilies danoises.
43
** Dépourvue de bandelette bifurquée. Le nerf pénien allant à la partie
médiane du pénis. Le vagin est long. La partie supérieure de la poche
copulatrice n’est jamais terminée en tête. p piimna ziegler
Iipme Groupe.
Le rétracteur de l’ommatophore est indépendant du pénis et du vagin. Le
diverticule prend naissance assez bas sur le col de la poche copulatrice; il est d’une autre
nature que celle de la poche copulatrice même. Le canal déférent n’a pas d’épiphallus
bien séparé et, par conséquent, point de fronde pénienne. Le flagellum fait défaut. Un
rétracteur pénien allant au diaphragme manque également; mais une bande musculaire
relie cependant la partie inférieure du pénis à la partie inférieure du canal déférent.
A. L’oviducte libre est plus petit, de la même grandeur, ou seulement un peu plus grand
que le spermoviducte. Le canal séreux est bien développé, ayant des plis saillants.
3. Genus Alinda (Adams) Boettger.
a. L’oviducte libre un peu plus long que le spermoviducte. Le canal muqueux
est dans sa plus grande partie inférieure transformé en utérus à parois légères.
Ovovivipare. A bipUcata Montagu.
b. L’oviducte libre est plus court que le spermoviducte . Le canal muqueux presque
uniforme dans toute sa longueur. Ovipare. A pUcata Draparnaud.
B. L’oviducte libre a environ 3 fois la longueur du spermoviducte. Le canal séreux
est peu développé, dépouvu de plis.
4. Genus Balea Prideaux.
Balea perversa Linné a, au point de vue anatomique, une si grande
ressemblance avec le genre Alinda, qu’il n’y aurait aucune raison de l’établir comme genre
spécifique si la coquille, par son manque de clausilium, de pli spiral, de lunelle et de
plis palataux, ne l’en éloignait.
On voit par ce qui précède que la classification en sections, établies autrefois d’après
la caractéristique de la coquille est toute naturelle et que l’on est aussi à même par la
voie des recherches anatomiques de classifier les espèces dans les groupes déjà établis.
L’anatomie sert ainsi à vérifier la justesse de cette classification; elle donne en outre
6*
<< prev. page << föreg. sida << >> nästa sida >> next page >>
