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ban fandt som skulle tjena till detta årets campagne, så ville
jag derom gifva äfven mina reflexioner, och kunde vi då genast
öfverenskomma hvad partie vi skulle taga emot de obilliga
uppbringningar som värkstältes emot båda Nationernas flagga.
Om vi skulle ligga stilla och gjöra intet som i fjol, blef det en
ridicule. Därpå svarade ban: »mais vous l’avés voulu vous mème
armés.» »Oui», je dis, »parceque la Convention entre nos deux
etats 1’avait stipulé, et toujours fidele a mes promesses je regarde
comme une obligation Sacrée d’eu remplir les artides.» »Moi de
mème», svarade han. Jag infölt: »je le vois bien mon Cousin,
par le pavileon qui brille auprès du notre, mais il S’agit
m’ain-tenent de Scavoir votre idée sur la maniere de rendre notre
Armement respectable et respectée; il est de notre commuu
interet de Soutenir ce que nous avons deja Commencé et de
faire voire à l’Europe 1’accord qui regne entre nous Pour étre
a 1’abris des insultes des puissances belligerantes». Däruppå
visste han ej hvad han skulle svara. »Mais oui, ön peut faire
des courses», svarade han, och sedan sade han: »je vous avoue
que je naime pas les Convoys». »Je les crois pourtant tres
ne-cessaires», lui repondi-je. »Ön ne se frotte pas inpunement a
un Vaisseaux de Guerre, et ön ne S’attire par vollontiers la
guerre avec tout le moude pour un petit vaisseau Marchand.«
Han svarade häruppå: »Oui vous aves raison, mais cela peut
arri-ver et allors ön a la Guerre.» »Oui», lui reparti—je »ön a la
Guerre, il est vrai, mais injustement, ön ne l a pas provoquée,
ön defend son independence, ön a fa bonne Cause pour soi et
la Providence est juste». Därpå svarade han: »ön a la Guerre.»
När jag såg, att jag hvarken feck svar, och att en värklig
räddhåga tog honom så att alla lemmarne darrade då denne
Con-versation Continuerade, frågade jag honom: »Peut etre V. A. R.
Seroit pius Contente, si en reflechissant sur ce que j’ai eu
lhonneur de lui dire elle voudroit me faire parvenir ses idées
Sur ce Sujet par le Canal du Comte Bernstorff et que
Ehren-hejm fut charge de ma part d en parler au Comte». I detsamma
klarnade hans ansigte och han svarade: »oui de tout mon coeur,
mon cher cousin, je vous assure que j’vrai audevant de vos
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