- Project Runeberg -  Nerve-elementerne, deres struktur og sammenhäng i centralnervsystemet /
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(1887) [MARC] Author: Fridtjof Nansen
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FRIDTIOF NANSEN: Les éléments nerveux, leur structure et leurs
réunions dans le système nerveux central.

1. Les tubes nerveux des bilatérates invertébrés se composent d’une
gaine extérieure relativement consistante, formée d’une substance spéciale
et d’une substance interne plus molle. Ce contenu interne ne se compose
pas, comme on l’admettait précédemment, de fibrilles et d’une substance
interfibrillaire, mais de tubes minces de spongioplasma, renfermant la
substance nerveuse proprement dite, composée d’une matière hyaline
demi-fluide, Yhyaloplasma. L’auteur désigne sous le nom de tubes primitifs
ces tubes qui composent l’intérieur (les tubes nerveux (ff. 1—3). Au
centre des tubes nerveux de certains animaux, comme p. ex. du homard,
il se produit toutefois une concentration autour d’une espèce d’axe.
Cette concentration consiste esssentiellement en ce que vers le centre
du tube les parois s’épaissent, réfractent mieux la lumière, et se
colorent plus fortement sous l’effet des réactifs, en même temps que
le diamètre intérieur des tubes primitifs diminue (fig. 4).

2. Les cellules nerveuses sont entourées dans la règle d’une gaîne
ou membrane extérieure (fig. 5, $k), de la même substance que celle
de la gaîne des tubes nerveux.

Le protoplasma des cellules nerveuses ne se compose pas de
fibrilles et de substance interfibrillaire, aussi peu que d’un réseau nageant
dans une masse fondamentale hyaline. Ses parties constituantes les
plus essentielles sont au contraire des tubes primitifs pareils à ceux
décrits dans les tubes nerveux. Ce sont ces tubes primitifs qui forment
les prolongements des cellules nerveuses (fig. 5). Outre les substances
(hyaloplasma. et spongioplasma) dont se composent les tubes primitifs,
les cellules nerveuses en contiennent encore une troisième qui n’a pas
pu être déterminée plus spécialement, mais qui amène la coloration
foncée intense et fréquente du protoplasma par certains réactifs, tels
p. ex. que l’acide osmique et l’hématoxyline. La substance en
question peut manquer dans des parties déterminées, souvent nettement
limitées, du protoplasma, lesquelles, dans des préparations colorées, se
distinguent tout particulièrement par leurs couleurs claires (fig. 6, ld).
On rencontre aussi très fréquemment dans le protoplasma des cellules
nerveuses un réseau spongioplasmatique caractéristique particulier,
paraissant être en relation avec la gaine des cellules nerveuses, ou même,
à ce qu’il semblerait, partant de cette gaîne (fig. 7). Ce réseau peut
contenir des fibres épaisses très évidentes (fig. 7, sf, sf1). Il est
encore difficile d’en décider l’origine réelle.

Les prolongements des cellules nerveuses peuvent être divisés en
prolongements nerveux et en prolongements protoplasmatiques. Quand
une cellule nerveuse est unipolaire, ce qui constitue la règle chez les

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