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6o P R K M I E R A G E D U F E R.
urne cn argile. "Ab. 1S74, p. 82 cl fig. 36. 1877, p. 79- ’
Lorange, p. 53.
351. C 3155. Voir No. 225. — Les oreille* dc l’an« ont
été soudée* *ur le bord du chaudron.
352. C 4 «79- ^’oii No. 149. Est raccommodt" avec de
inincci plaque* de bronze fixée* par de» rivet».
353- B 317. Hauge. Lyster. NB.. 1S29. sous une dalle,
dan* le pourtour d’un tumulus rond. Dans le chaudron il y avait
de» o* incinérés parmi lesquels on a trouvé une bractéatc cn or.
Lorange, p. 93. ’Montelius, Fr. j. II. p. 32 et pl. 8. fig. 9-
354 -377 Vases en terre cuite. On les rencontre
bien plus fréquemment que toute autre espèce de vases
dans les trouvailles faites dans les tombes de cette
époque (cp. toutefois ce qui est dit ci-après, aux Nos.1
380—382. des vases cn bois). Le nombre des formes
différentes est cependant loin d’être cn rapport avec
celui des exemplaires trouvés; la plus grande partie
des vases norvégiens, en argile, dc l’ancien âge du fer
doivent être rapportés aux 4 types représentés sous les
Nos. 354, 360—362, 364—366 et 370 377. Parmi
ceux-ci, le plus ancien est, en général, le type No. 354.
Cette forme n’a jamais d’anse. Ces vases sont formes
d’une pâte d’argile grossière, mal travaillée et fortement
mélangée de grains de silice; la cuisson est de plus
très-incomplète ct c’est pourquoi il n’en subsiste que
très-peu d’exemplaires entiers. Ils ont assurément été
fabriqués exclusivement pour servir d’urnes funéraires.
On connaît plus dc 100 exemplaires de cette forme
(la plupart provenant de trouvailles faites dans les
provinces orientales^ ; ils sont généralement beaucoup plus
grands que l’exemplaire reproduit. La forme Nos.
360—362 appartient principalement au milieu du
premier åge du fer, mais elle a aussi été employée
pendant le moyen âge du fer. Le No. 361 est la
forme ordinaire; le No. 360. sans anse ct avec le
renflement de la partie inférieure moins fortement
accentué, est plus ancien. On connaît beaucoup plus
de 200 exemplaires dc ce type. Le No. 362 offre
cette particularité que des morceaux dc vases en verre
sont enchâssés dans l’argile; on a trouvé 4 fois des
vases de cette sorte ’dits »vases à fenêtres » cn
Norvège (sur deux urnes de môme forme ct deux du type
No. 368; La forme Nos. 364—366 est contemporaine
de celle des Nos. 360—362 et se rencontre
constamment à côté d’elle (on en connaît plus dc 150
exemplaires) ; on rencontre très-souvent dans la même
trouvaille un exemplaire de chacun de ces types. Le plus
commun de tous est le No 364, qui porte it sa face
extérieure de petits creux très-proches les uns des
autres et qui, évidemment, ont été produits par la
pression de l’ongle sur l’argile encore humide. Le No. 365,
avec une autre espèce d’ornements et le No. 366 avec
deux anses, ne sont pas communs ; par contre, il n’est
pas rare de recontrer une variété de ce type avec
une anse ct la partie extérieure unie, comme dans le
No. 366. - La forme Nos. 370—377 urne en forme
dc pot à fleurs), dont on connaît plus de 220
exemplaires, est la plus récente des formes habituelles.
Elle appartient au moyen âge du fer, quoique son
origine doive être reportée à un temps plus éloigné.
Les vases en argile de ce type se distinguent, d’abord
par leur forme facilement rcconnaissable, et, de plus,
parce qu’ils portent le plus souvent une ornementation
très-riche et que la pâte argileuse dont ils sont faits
est fortement mélangée de fines particules dc pierre
(mica on asbeste’. L’argile a. de cette façon, acquis
une ténacité qui a permis d’en faire des vases assez
minces. Les urnes en forme de pot à fleurs ont
souvent porté, autour de leur bord supérieur, un cercle
cn fer oit était fixée, comme dans les Nos. 373 et 376,
une anse mobile aussi en fer. — Les autres formes
de vases en argile reproduites ici sont loin dc se
rencontrer aussi souvent. Celles qui sont relativement le
plus communes sont le No. 368 \3o—40 exemplaires,
généralement plus grands que celui reproduit) et les
Nos. 367, 369 (envir. 20 exemplaires Le No. 357
offre cette particularité que son anse, creuse dans toute
sa longueur, servait en même temps de goulot .6
exetn-pLtires connusj. La plus grande partie des vases cn
atgilc paraissent être dc fabrication indigène. Les
Nos. 360 362, 364 366 et 370—377 ne se
rencontrent qu’en petit nombre cn dehors des limites de la
Norvège. Tous les vases en argile n’ont subi qu’une
faible cuisson et sont formés a la main, non au tour.
Les vases tournés, très-peu nombreux, qui ont été
rencontrés dans des trouvailles norvégiennes, sont
indubitablement étrangers. Cp. Aarb 1SS0. p. 149.
354. C 794«. Voir No. 143.
355. C 66t<-, Eikeberg, Spydeberg. Sml. ! i. in tumulus,
en même temps que des morceaux dc pljsieur» urne» en argile
plus grandes, dont l’une était — No. 354 et un lingot de vene
fondu. "Ab. 1S73, p. 79 et fig. tl. — Endommagée par le feu,
ce qui a quelque peu gâté la symétrie de sa forme.
356. C S061. Leken. Raade. Sml.. 1877, dam un tumulu»,
en même temps que de* os incinéré*. Dan» le pourtour du
tumulus on a trouvé, plus tard, du mastic provenant d’un vase cn
bois * No. 380^ un grand couteau courbe cn fer - No. 143 et
une petite cheville en fer. • Ab. 1877, p. 6, 11 ct fig. 9,
357. C 6829. Hove. Holland, stav. ; renfermait lorsqu’on
l’a trouvée, de» os incinéré». • Ab 1874, p. 67 ct fig. 12.
358. C 6372 Store Vatne, Holland, Stav., dans un lumu®
lus, renfermant de» os incinéré» parmi lesqucl* «e trouvaient une
très-petite boucle dc courroie en bronze et des fragment- d’un
peigne en os = No. «39. * Ab. 1S73, p. 68 ct fig. 17.
359. T 465. Gjete. Levanger. NT. 1S68. dan» un tumulus
rond, en même temp» que de* os iucinéié*. de* morceaux d’un
chaudron en bronze — No. 351, d’un plat en bronze ainsi que
d’une casserole ct d’un tamis «■ No. 343 en bronze, des
fragments d’étoffe, les reste» d’une fibule cn argent, semblable au
’ No. 236, avec placage cn argent doré, deux bagues en or = No.
307. quelque» garniture* en fer d’une bolte cn boi», de* morceaux
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