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OTRYCKTA BERÄTTELSER OCH DIKTER
et les blasphèmes grélent. Souvent la nuit le
prome-neur s’arrëte dans la rue, et à travers la devanture
garnie de bouteilles des crist des hurlements
pénè-trent le silence; et le passant passé en se disant:
Quel an tre!
Popoffsky, étudiant en médécine et rédacteur d’un
journal socialiste vivait en ménage avec une femme
et leur enfant. Il aimait cette femme et adorait son fils,
mais ambitieux et fier il ne voulait pas se soumettre au
joug conjugal, parce qu’il redoutait les liens d’une
femme, et la femme méme comme le génie du mal, le
microcosme, Pesprit terrestre qui a épousé la
poua-sière et le limön. Dans ce point nos opinions se
sont rencontrés, avec la différence que je désiré le
limön pour créer une image ou une resseinblance au
moins, et je me suis décidé à reconvoler dès que
mes ressources le permettent. Et je ne suis pas sans
espérances lorsque plusieurs de mes drames sont
re;us aux théåtres. Mais il faut attendre son tour et
en attendant j’évite les conquëtes faciles, et les filies
de la rue qui me dégoütent par un instinct sain et
justifié. C’est que aux milieu des ténèbres de
l’iv-resse un fanal me guide de loin, et dont la lueur
m’éclaire et me chauffe; c’est te souvenir de mes
enfants.
Le 7 Janvier 1893, le jour de ma fëte j’étais
in-vité à souper chez un riche amateur de Part et de la
littérature au Thiergartenviertel...
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