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extérieur de Stockholm par ex. Mais souvent une corrélalion des
facteurs s’y méle sans doute aussi dans des cas ott on ne peut le
prévoir (Voir par ex. la recherche de VRIENS et Tis4«srRA 1912 sur
les qualités des sols du district Deli dans Vile de Sumatra). Il est
donc nécessaire d’examiner si ce phénoméne peut alterer nos ré-
sultats.
Dans ce but j’ai calculé le tableau II montrant les fréquences des
100 combinaisons de deux facteurs que l’on peut attendre dans un
matériel de 1 million, s’il existe une corrélation entre les facteurs
lelle que le coefficient de corrélation soit 0,5. Des 100 combinaisons
possibles 12 ne sont pas réalisées. J’ai combiné les 88 qui restent
avec le troisiéme facteur comme ci-dessus dans le cas 1. Des 880
combinaisons possibles 160 ne sont probablement pas représentées
dans un matériel de 1 million. Elles ont été supprimées. Le reste
du calcul se fait comme dans le cas 1. Le résultat est donné dans
le tableau IV.
4. Nombreux facteurs avec nombre de gradations.
Si l’on range, dans l’ordre de leurs fréquences, les combinaisons
des trois facteurs le long d’une droite, espacées réguliérement, et si
lon prend ces fréquences comme ordinées d’une courbe, on verra
que celle-ci ressemble à une demie courbe binomiale. Il me semble,
que plus le nombre des facteurs considérés et des gradations de
chacun d’eux jouant un róle augmentera, plus cette ressemblance
s’approchera d’une coincidance.
En admettant que cela soit le cas, j’ai fait un calcul comme ci-
dessus, partant de la courbe idéale et en me servant des chiffres
donnés par JOHANNSEN (p. 74). Pour le calcul j’ai divisé la demie-
courbe dans 20 classes à 0, 6 (Je regarde donc toute la variation
comprise entre + 4 g, l’erreur commise étant moins que 1 sur
70000). Le résultat exprimé comme auparavant se trouve dans le
lableau V.
Il ressort de ce tableau qu’un certain rapport entre le nombre de
stations-élémentaires, comprises dans chaque échantillon, et le
nombre total des stations différentes dans le matériel dont nous
tirons les échantillons donne les mémes résultats, quel que soit
ce dernier nombre. Au moins cette régle est valable pour 200
jusqu’à 10 000 combinaisons différentes, l’espace qu’embrassent nos
calculs.
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