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élémentaire nous avons defini une unité de surface, si petite qu’elle
ne peut contenir plus d’une station uniforme écologique (une com-
binaison déterminée de facteurs). La grandeur de cette surface
fictive doit varier dans de différentes formations; elle est certes plus.
grande dans une forét de pins avec des lichens A Västerbotten que
dans une petite ile montagneuse dans l’archipel extérieur de Stock-
holm par ex. Mais comme c’est li une grandeur de surface il est
clair que chaque terrain d’un territoire homogene peut étre mesuré
en de telles unités. Des échantillons d’une grandeur égale y doivent
donc renfermer le méme nombre de stations-élémentaires. Cela donne
aux chiffres calculés ci-dessus une signification réelle. Nous sommes
en droit de comparer nos, chiffres avec les données empiriques..
J’ai fait de pareilles comparaisons, rendues graphiquement dans.
la fig. 1.
La courbe moyenne des recherches d’aprés la méthode de RAvN-
ELER (p. 26) coincide comme on le voit, fig. 1 D, trés bien avec la
courbe dressée d’aprés la ligne XI de notre tableau 4. Les échan-
tillons de RAUNKLER ont une surface de 0,1 m?; la courbe calculée
est dressée pour des échantillons de 1000 stations-élémentaires.
Pour cela une comparaison semble absurde au premier abord, mais.
le devient moins, quand nous nous rappelons la régle trouvée sous 4 et
un peu librement,
il est vrai — les suppositions qui comptent pour la valeur calculée:
chaque échantillon doit renfermer un nombre un peu plus grand
dindividus que le nombre d’espéces différentes, contenues dans
la formation explorée. (Voir aussi ci-dessous 6, Cas 1 A.)
La figure 1 A permet une comparaison d’une courbe dressée d’a-
prés des recherches de PALMGREN avec la courbe représentant les
chiffres des lignes XVI, XXII ou XXVII du tableau V. La premiere
est la courbe qui représente tout le matériel de PALMGREN; elle est
dressée d’aprés son tableau II (p. 518) avec une répartition du
matériel dans 5 classes, pour qu’elle soit parfaitement comparable
quand nous traduisons en langage botanique
à la courbe calculée.
Les autres tracés de la figure 1 montrent quelques courbes cal-
culées comparées aux données empiriques de Jaccarn. La courbe
ponctuée dans la fig. 1 C est dressée d’apres le tableau p. 115 chez
JACCARD 1902 a (dix prairies alpines du territoire Wildhorn— Trient—
Dranses) Des deux autres comparées avec elle, l’une est tracée
d’aprés les chiffres de la ligne IX de notre tableau IV, Tautre
d’apres la ligne XXI du tableau V. Des deux courbes de la fig. 1. B,
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