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de sov auteur ot de la ksputation dont elle a
dopuis tant de tems joui en Eut·ope» Le buste
de mon iils stak-, qui fut pouk moi uue enticzke
sat-prise- et dcs plus agkkzables mo obakmo autant
pak lo mdrite de l’e·xc«xoution que pgk sa kossem—
blottet-, et les baskeliofs sont au—deld de tous
les Slags-S que ma faible Voix poukkait leuk donnes·.
Je les ksgmsde oomme ut) tscnoignago bien bono—
kablo pour,cnoi de Familie du pkemiek soulpteuk
de son tems et les accepte z oe titke aveo toute
la reoonnaissanoe qua jo Vous en dois. Mais j’ai
une dette Ti payek pouk les bustes, qsr sans me
pekmettke le moins du motde d’ovaluek des ouvka—
ges, pouk moi du plus baut pkix, jo pkie pak
tælle-ei la Maison Torlonia de vous paYek la somme-
ds deux cent livkos Stikling pouk mon oompte,
que jo Vous pkie de vouloik bieo agkezek pouss les
ouvkages.
Mai l’bonneuk ckotko aveo les sentimens d’estimo
les plus distinguos,
Monsieur le Cbevaliek,
Votko tkds kooonnaissant C obligs sekvitsus«
Thomas llopo·«
Londkes te 3 Aoiu 1829.
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