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aux traitez qui subsistent entre Nons et la G.
B. et qui ont pour but les deux choses, qui
doivent le plus interesser la Nation Angloise, a
savoir le maintien de la Religion Protestante et
de la ballance du Nord- Us sont trop
clairvoyants, pour croire, que dans un tel cas, Notre
conduite par rapport a leur vaisseaux, leur
puisse servir d’excuse, pour auoir abandonné le
maxime de l’Angleterre, qui de tout terns a
été, d’epouser les interets de la Suede. Qu’ils
comparent seulement cette conduite là à leur
propre dans la guerre avec la France, qu’ils
comparent aussi la perte, qu’ont fait leurs
sujets, a celles que les Nôtres ont souffert non
obstant, qu’ils n’avoient jamais apporté a la
France des armes, ni d’ammunition, et moins
encore les vaisseaux de guerre, comme le font
tous les jours les Anglois à nos ennemis, et
qu’ils disent apréz cela, si Nous n’avons pas eu
bien plus de raison de Nous plaindre qu’eux,
et cependant loin de venir a des menaces, ni
a nous en servir de pretexte, pour ne point
observer no3 Traitez nous continuâmes j’usques
a la paix de Russvic au service des Alliez 600
hommes, que nous leur avions prêtés; Nous Nous
acquittâmes impartialement et au contentement des
dits alliez, de la médiation , et Nous n’avons
jamais & l’example des Danois voulu faire des
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