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louer de beaucoup d’egard et lorsque j’assuray
que dans peu les affaires prendraient un autre
face, vous vuolez dire (m’interrompit il) a son
retour du quel je ne puis plus doutter nos aui»
de Turquie confirment unaniment qu’il ést sur
le point de son départ, a moins ajoutât jl que
les Turcs par quelque nouvelle invention ne Iuy
cherchent des chicanes, je ne vois cependant
pas ce qui pourraient luy faire refuser le
ferment (firman) dez qu’il le voudra
demander. la conversation finit pas des politesses et
l’enuie qu’il -avoit d’estre utile au Roy mon
maître) J’oublie de dire a Y. E. que dans
l’article de mon discours ou j’en appellois a
l’autorité Imperialle j’adjoutay que rien ne
sera-bloit s’y opposer plus directement que les
puissances qui en veulent user comme fait la Prusse
a nostre egard et que je pouvois assurer son
Alt:e qu’en on seulement elle estoit pleinement
d’accord auec le Çzar par le traitté qu’elle vient
de conclure auec ce Prince mais que depuis
il se trouvoit encore entre ces deux cours des
projets sur le tappis dont S. A. pouvoit estie
persuadé de la certitude je luy montrais la
dessus la nouvelle dont V:e E. vieut d’addresser
un extrait a M:r Stiernheuk. pour m’en faire
part, Il me dit: vous connoisses le conseil de
Prusse et je n’ay rien a vous dire, ce fut le
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