Full resolution (JPEG) - On this page / på denna sida - Sidor ...
<< prev. page << föreg. sida << >> nästa sida >> next page >>
Below is the raw OCR text
from the above scanned image.
Do you see an error? Proofread the page now!
Här nedan syns maskintolkade texten från faksimilbilden ovan.
Ser du något fel? Korrekturläs sidan nu!
This page has never been proofread. / Denna sida har aldrig korrekturlästs.
. •
vous ne scauriez avoir un plus beau champ pour
demander vostre rappel, et vous direz bonne—.
ment qu’en vostre place je n’hesiterois pas 2 4
heures. Je vous dirai plus; vous l’obtiendrez
aisément par les raisons que je viens de vous
dire, le Roy n’aimant pas, si je le connois hien,
d’avoir a la fois plusieurs fers au feu; Mais il
est ou, tout un ou tout autre. Je ne prétends
point dire parla, que S. M. ne veuille ménager
l’amitié du Roy d’Espagne; Mais je veux dire
que je crains que la Cour de Vienne venant a
soupçonner la Suede d’une liaison trop étroite
avec l’Espagne, se melera moins rondement dans
le redressement des affaires du Roy,
Mons:r Vostre Pere est dans la ville de
Breme, d’ou il me mande récemment, que rien
ne l’a attiré que la veu du rétablissement de sa
santé, que l’accablement des affaires avoit
entièrement dérangé ainsi vous pouvez vous
rassurer sur les mauvais bruits des disgrâce qui
ont couru dans le monde, mais qui n’ont esté
que des discours de gazette. Ce n’en est point
un quand je vous dis que je suis de tout
mon coeur.
Paris le ig Âout 1715.
Vellingk le fils
Je viens de recevoir vostre lettre du 6 de
<< prev. page << föreg. sida << >> nästa sida >> next page >>
