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Canada’s Fur Enterprises
From the days of the first settlements in Canada, the fur industry has been
a leading factor in the nation’s economy. Changes have been taking place in
recent decades — changes, very often, brought about by fluctuations in fashion.
One of these changes is the increasing number of fur-farms. In spite of this
development, however, wild fur-bearers still provide well over half the income
from raw furs. Scientific studies of many species are always being made to
determine the principal factors which make for the welfare of trappers and all
others engaged in the industry. Thousands of Canadians are employed in the
fur processing enterprises and all Canadian furs placed on the market are
graded according to government standards. In this way, purchases may be
made by grade without the necessity of personal examination by the buyer.
Montreal is the leading fur market in Canada, but auction sales are also held
at Vancouver, Edmonton, Regina and Winnipeg. A large part of Canada’s
fur exports consists, naturally, of those furs which Canada produces in greatest
abundance, notably mink, beaver, muskrat and fox.
L’industrie de la fourrure au Canada
Depuis les premiers jours de notre histoire, l’industrie de la fourrure a
constitué un facteur important de l’économie canadienne. Elle fut un temps
la plus prospère et la plus rémunératrice de nos entreprises; elle contribue
encore plusieurs millions de dollars 4 notre revenu annuel. Comme toute
industrie conditionnée par la mode, elle a connu d’importants changements,
surtout dans les récentes décades. Un de ces changements, et le plus marquant
peut-être, a été le développement des fermes d’animaux à fourrure. En 1950
on en comptait 3,492 dont 2,587 de visons et 985 de renards. Les provinces de
la Prairie possèdent 37% de ces fermes: il y en a 28% dans l’Ontario: 16%
dans le Québec; 10% dans les Maritimes et 9% en Colombie. Toutefois, en
dépit de ce développement des fermes d’animaux à fourrure, les animaux
sauvages fournissent encore bien au-dessus de la moitié des fourrures commer-
cables. Le développement des centres urbains et l’accroissement de la popula-
lation ont relégué les régions de trappes au nord des provinces et dans les
Territoires du Nord-Ouest.
Les fourrures canadiennes, avant d’étre placées sur le marché, sont évaluées
selon des normes établies par le Gouvernement. Cette évaluation est tout a
l’avantage de l’éleveur ou du trappeur qui se voit forcé de travailler a l’amé-
lioration constante de la qualité de ses produits.
La majeure partie des exportations canadiennes de fourrure, provient
naturellement de ces animaux dont la forét canadienne regorge: vison, castor,
rat musqué et renard.
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