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.ecrit de la inain propre de S. M. qu’il
iuy avoit donne en poche dej a a la
pre-miere mission. Quand il revient il trouve
le vieux Comte de Fersen,le General Horn
et le B" Friesendorff ch*?s la Dame. II
tire 1’orilre du Roy de sa pocIiey ecrit
en termes bien clairs. II en fait leclure
å haute voix. en presence de ces Mess“
et se retire. Le Roy avoit fait dire en
m^ine temps qu’il se servoit en cette
oc-casion du Ministere du Maitre de police,
conrnie il le feroit dorernavant en toutes
de natnre pareille pour n’etre pas dans le
eas de compromettre les Capitaines de
ses Gardes de Corps, a etre decbirés
dans les societés des dames,. quand ils
ne font qu’e\ecuter les ordres de leur
maitre, en faisant leurs services. Le Roi
sn’a raconte luy méme ce matin tout ce
que cy dessus,, fort etonné de voir que
je n’en savois encore rien. Je mimagine
quelle consternation a du en resulter
hier au bal ches la Duchesse- Je
sou-pois chés le Riksdrots en compagnie
assés nombreuse öu lon n’avoit idée de
rien,. de ce qui fera aujourd’huy la
nou-▼ellfr du jour." - —
Vi- hafva så mycket liellre har infört
Rikskansleren Sparre på scenen, sjelf
berättande om den mot Grefvinnan
Lan-tingshau&en utöfvadesällsamma despotism,
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