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encore de votre obligeante hospitalité à Norsholm, vous voulez
bien me permettre, Monsieur, que je m’érige en sollicitant auprès
de vous qui avez tant de crédit dans les affaires ––––––-— —
vous vous employerez, j’en suis sûr, Monsieur, tant à ma
considération que par le principe de générosité en tout ce que les
lois du pays peuvent avoir de favorable pour un homme tombe’
dans un cas pareil, et sans que tout ceci vienne en ligne de
compte, vous pouvez être persuadé, que si jamais je puis vous
devenir utile, vous me trouverez toujours avec une estime parfaite
et beaucoup de déférence
Monsieur,
Votre très-humble et frès-ohéissant serviteur,
GUILLAUME de liesse.
»Permettez que Madame la eomtesse trouve ici mes
assurances de respect.»
7.
Prinsen af Nassau till RiksRâdet Tessin.
”Monsieur!
»Revenu de mes petites tournées, je vis ici en
campagnard, réduit aux plaisirs tranquilles d’un bon père de
famille. Les parties de chasse y font mon plus grand
amusement, et en deux jours on a tue’ plus d’une centaine de
sangliers.
»Mais qu’est ce que cela en comparaison de ces heureux
moments que j’ai passés à Paris, et particulièrement chez vous,
Monsieur, où l’esprit, la politesse, le bon goût, la belle
compagnie et la grande chère sont toujours ré unies. Le regret,
sans lequel je ne saurois y penser, vous est garant de ma recon-
*) Grefve Tessin var då ^ndast Öfverlntendeut och nyttjid i
diplomatiska värf. RiksRåd blef han först 1741. Men sådant
personligt anseende hade Sveriges embetsmän den tiden, alt regerande
Konungens broder i så förbindliga och bönfallande ordalag
inneslöt sig och sina angelägenheter i deras hägn. Himlen vet, om nu
regerande konungahusets höga aniorvandter, ehuru en och annan
uu-dersåter sjelfve i främmande länder, skulle finna mödan värdt, att
på sådant sätt vända sig till någon af våra dagars funktionärer af
hvilken »amliälUrang «om helst!
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