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I andra delen, sid. 188—189 af Ankenholtz’s Mém o
i-res concernant Christine, förekommer ett bref från
Drottningen (dateradt Rom den 22 May 1678) till Fru
Da-eier, då M:lle le Févre, der det heter;
”Par quel charme secrét av ez-v ous sed
a c cor der les Muses avec les Graces? Si vous
pouviez attirer å cette alliance la Fortune, ce
seroit un ac croissement presque sans exemple,
auquel on ne sauroit rien souhaiter de plus, si
ce n’est la connaissance de la vérité qui ne
peut éire longtems caehée å une fille, quipcut
*j*entretenir avec les Saints Auteurs dans leurs
langues naturelles, J’espére et je le souhaite
avec Vaide de Dieu, qu’un jour ils vous
per-suaderont si vous les consultez sans
préoccu-pation, qu1 env ir on 1500 années avant que les
Luthers el les Calvins eussent renoncés å la
vérité, tout ce qu’il y avoit d€ gens
raisonna-b les et grands dans no tre mond e é to i ent au s si
C atholiques que nous le sommes tous
aujourd-hui ici å Rome, et comme Vest la plus saine e(
la meill eur e partie de votre France. A quoi
peut servir t oute votre Science, si vous ignorez
ce point si imp o riant? Donnez-v ous la peine
d*y faire une réflexion sérieuse et priez Dieu
q u* il o uv re un jour v os y eux et votre c o eur å la
vérité”
Arckenholtz anmärker, att Christina någon tid
derefter ännu en gång skref henne till, för att öfvertala henn*
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