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uotis donner du repentir, lequel seroit
irrémé-diable, et vous laisseroit le reste de vos jours
un remord éternel. Pens ez-y, je vous prie,
et donnez å votre réputation et å vos amis ce
qui est de votre devoir”
Till Landt-Grefvens svåger, sitt syskonbarn Carl
Gustaf, sedermera Konung i Sverige, skref hon, rörande
samma händelse:
”Je prens la part possible å Vaffliction
que vous cause le changement que médite Mon
cousin le Landgrave. Le sujét de votre douleur
est si juste, que je me trouve embarrassée lors
qu€ je veux chercher des raisons pour vous
con-soler. Quant å mot je ne me console que par
Vesp érance ferme, que j1 ai, que Dieu ne
per-mettra pas qu’un semblab le malheur trouble le
contentement dont vous jouissez au milieu de
tant de félicités dont le ciel a été libéral
envers vous. J9écris au Sieur Landgrave sur ce
sujet. Si je puts étre assez heureuse pour le
.détourner de ce mauvais dessein, j’aurai
beau-coup de satisfaction9 et ce sera pour mot un
grand plaisir d’avoir eu le bonheur de vous
avoir été uti le.11
Icke mindre motvilja mot Katholismen uttryckte hon
tvänne år innan hon dit afföll, till Biskop Godeau, som
då ville öfvertala henne, att bekänna sig til’ denna lära.
I hennes svar till honom förekommer:
”Les vceux que vous faites pour ma
con-version å la créance que vous enseignez, n’ont
pas fait les mémes impressions dans mon ame.
Je ne puis consentir, que vous desiriez et que
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