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on p ouv ait pr évo ir, non antiqu>e, m&i* vielle et
c a du que *
Ce qui imporle å o bs erver, c^est que la
bourgeoisie, qui s’est chargé presqtte seule d’agir
de-puis cinquante ans, semble aujowrd’hui
para-lysée, incapable d’action. Elle n’ose bouger. La
bourgeoisie ne le veut, ne le peut; elle a perdu
le mouvement. Un demi-siécle a done suffi pour
la voir soriir du p euple, s’élev er p ar son activité
et son énergie, et tout å coup, au milieu de son
triomp he, s’ a ff aiss er sur elle-méme. II n\y a
pas d’ exemp le d’un déclin si rapide.
Ce qui caractérisait Vancienne bourgeoisie,
ce qui manque å la nouv elle, c’est surtout la
s écurité.
Celle des deux derniers siécles, fortement
assise sur la base de fortunes déjå anciennes,
sur des charges de robes et de finance qui
comptoient pour propriétés, sur le monopole
des c orp orations in ar ch andes, etc. se croyait
tout aussi ferme en Fr an c e que le Roi. Son
rt-dicule fut V orgueil, la gauche imit a tion des
grands. Cet effort pour monter plus haut qu’on
ne le peut, se traduit par Vemphase, la
bouffi-sure qui marque la plupart des monuments *du
X VII:e siécle.
Le ridicule de la nouv elle b our g eoisie, c}est
le contraste de ces préc édents militaires, et d«
*) ”L’ancienne France eut trois classes. La
nouvelle nyen a plus que deux: le peuple et
la bourgeoisie”
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