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qui rescude les choses et qui les acheve selon
sa volonté. Ce n’est pas as se å ma f antas i e
que d’avoir V arreg ent qui est un grand article;
mais il faut avoir des gens de genie et de teste
pour fair de merv eilles que tout le mon de
ad-mire avec justice. — J* apprens qti’il y a des
tres gran des hommes d1 ouvrieres; mais j*admire
Monsieur de Gir a don, qui est le plus grand
homme de Vunivers pour son mettier. Monsieur
le Luin ce peul nommer Vunique, et Monsieur le
Nos tre et son p are il le. J’aurai b i en de curiosité
que converser quelques mois avec ces grands
hommes; et je me ferois le plus grand plaisir
du monde de leur pouvoir parler. Je vous juge
bien heureux d’avoir vue tout ces belles
choses. et comme vous estes asteur å Rome qui
est le théatre unique dans le monde vous me
faises plaisir de me mander toutes les
change-mens quVil se sont faites depuis mon départ.
Ecrive moy aussi souvent que Voccasion se
présente, et vous m’obligeres infiniment. Adieu
et me croye* vostre amis.
Jean Gabriel Stenbock.
P. S. Faites mes b aissemains å Monsieur
Marquis dell Monte, et assure luy de mes
resp e c ts”
Detta postscriptum af en så förnäm och högdragen
man, som Riksmarskalken grefve Stenbock, bevisar i
hvilket anseende Markisen, under sin beskickning från
Drottning Christina till svenska hofvet der stod och huru han
fortfarande ägde hela hennes ynnest och förtroende.
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