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272

(1875-1880) With: Carl Silfverstolpe
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o. nilsson.

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Kort efter det frågan om riksdagskallelsen blifvit afgjord,
lära Scheffers förhoppningar om en partiförlikning med hofvet

Lui fait augurer, et il n’y a sorte d’efforts et sorte de sacrifices que je ne
ferais avec plaisir, mais ne pouvant m’en flatter, personellement odieux comme
je le suis depuis la dernière diète à la cour d’ici (avec laquelle nos amis
seront obligés de se concerter en toutes choses à la diète prochaine et surfont
quand il s’agira de mettre la dernière main aux engagements pris entre les
deux Maisons Royales en 1750) j’avoue .... que je prévois avec douleur
que mon séjour en Suède, s’il dure encore longtemps, ne sera pas aussi utile
aux affaires du Roi qu’Elle (Y. Exc.) l’espère et que je le voudrais, et qu’ainsi
je sacrifierais en vain et même peutêtre au détriment du service la santé de
ma femme, le peu de bien qui me reste, et, je ne puis le dissimuler à Y.
Exc.. ma propre tranquillité.» Schack begärde nu att få redan före riksdagens
början afträda. Yunne denna önskan icke bifall, så förbehölle han sig att —
om hans enskilda angelägenheter så erfordrade — få mot slutet af året
inkomma med ansökan att blifva entledigad följande vår.

En sådan ansökan uteblef icke. D. 4 December afsände han följande
påminnelse:

»Le temps est venu où, selon la permission de Y. Exc., je me vois dans
le cas d’être obligé de Lui demander avec instance d’effectuer que le Roi
m’accorde mon rappel pour le mois de Mai prochain. Les six mois qui sont
presque écoulés depuis que j’eus l’honneur de Lui écrire mes lettres du 22
Juin et 17 Juillet, et les réflexions sérieuses que j’ai souvent faites depuis ce
temps-là, n’ont fait que m’affermir dans la persuasion où j’étais déjà alors,
que vers la fin de l’année il ne me resterait d’autre ressource que de
solliciter mon retour dans la patrie, et comme Y. Exc. sait combien les motifs
qui m’y engagent sont justes et pressants, et que même Elle a eu la grace
de me promettre d’appuyer ma demande quand je Lui la présenterais, je me
flatte de la douce espérance qu’Elle travaillera en ma faveur dans ce
moment-ci, et qu’Elle ne voudra pas qu’un plus long séjour en Suède achève
d’abimer la santé d’une femme que je chéris et ruiner ma fortune et de
m’accabler de chagrins. Je sens, on ne peut pas davantage, que le moment
présent n’est pas celui où il faudrait demander de quitter un poste qui va
être plus important que jamais; mais d’un coté il m’est moralement
impossible d’y rester, et de l’autre j’ose assurer que Mr de Jùel, qui au mois de
Mai prochain aura été près d’un an ici, qui connaîtra alors toutes les affaires
et toutes les personnes à fond et qui assurément a beaucoup de qualités
excellentes et qui le rendent très-propre à servir le Roi dans ce paj^s-ci, pourra
tout aussi bien conduire les affaires qui lui seront confiées que je le pourrais,
outre que selon toutes les apparences les moments les plus vifs et les plus

difficiles seront passés dès que la diète aura duré 4 à 5 mois.–-Quant à

mon sort après mon retour en Danemarc je mets mes intérêts absolument
entre les mains de Y. Exe. sur la protection et l’amitié de Laquelle je compte
avec la confiance la plus intime. Je ne demande et ne désire rien par
préférence; pourvu que Sa Majesté ait la grace de me donner un poste dans
lequel je sois en état de La servir, qui jusqu’à ce que celui de Scanderbourg
vienne à vaquer, puisse me nourrir petitement et tranquillement et qui ne
soit pas dans Copenhague, où je retomberais dans les mêmes embarras dont
je souhaite de sortir à cette heure, je serai content et satisfait et la
reconnaissance que j’en porterai à Y. Exc., sera éternelle.»

Hvad besked Schack omsider erhöll, synes af ett d. 29 Januari 1765
dateradt bref från Bernstorff, ur hvilket vi anföra följande rader: »je
m’intéresse trop tendrement à Yous pour ne pas être fort touché de ce que vous
me faites l’honneur de me dire dans votre lettre particulière du 15. Je suis
au désespoir de vous savoir des raisons relatives au service du Roi et au
votre qui vous font trouver le ^éjour de Stockholm fâcheux dans cette époque,

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