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les églises prétendues réformées de France,
qu’il ne faudra d’essayer à réduire en son
obéissance les autres Rois et Princes qui s’en sont
soustraits, à quoi ils doivent obvier de tout
leur pouvoir, s’ils se veulent conserver; l’antre:
qu’ils étaient bien certains que Y, M:té ne
désirait rien plus que la paix et repos de son
Royaume, et qu’elle avait rompu son édit de
pacification par force et contre sa volonté.
Partant, que tous vrais amis de V. M:té devaient
employer leurs forces et moyens pour sa
défense et liberté, et conservation de la couronne
et état. Ce qu’ils ne font seulement déclarer
par leurs Ministres, mais aussi publier par éorits
de toutes parts.
Sire! J’ai fait entendre au Roi de
Danne-mark et aux autres Princes circonvoisins, ce
que V. M:té m’avait commandé leur déclarer
par sa lettre du i8:e d’Août. C’est que V. Mité
après avoir apaisé les nouveaux troubles
survenus en son Royaume, y avait fait défendre
l’exercice de la religion prétendue réformée;
mais que pour cela, elle ne voulait délaisser à
fidèlement retenir et conserver l’amitié des Rois
et Princes ses anciens amis et du Royaume de
P rance, ni consentir en chose qui leur fut
préjudiciable.
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