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sur les écoles de Paris[1], exposé mon
opinion sur l’emploi des exercices indiqués par
Frœbel et en particulier sur les leçons de choses
qui en sont ordinairement la suite. Depuis
l’année 1840, où Frœbel établit à Bankenbourg,
en Thuringe, le premier jardin d’enfants,
leur nombre s’est partout singulièrement
accru. Berlin en compte 30; Leipzig,
Hambourg, Gotha, Dresde en ont 15; l’Italie,
l’Autriche, la France en comptent aussi plusieurs.
Il s’est formé en Allemagne des sociétés
frœbéliennes (frœbelvereine); celle de Munich a fondé
7 écoles qui comptaient, en 1873, 2,800 élèves.
Des journaux et de nombreux manuels sont
consacrés à cet intéressant sujet. Mais il ne
faudrait pas, comme on le fait trop souvent,
confondre les procédés indiqués par Frœbel
et pratiqués par les instituteurs et les
institutrices, avec l’esprit et les principes de sa
méthode. Quels que soient les exercices introduits
dans les écoles, ils ne peuvent produire d’utiles
effets que s’ils sont pratiqués en vue du but
supérieur que doit se proposer non-seulement
l’éducation de la première enfance, mais encore
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