Full resolution (JPEG) - On this page / på denna sida - Åttonde kapitlet. Stockholm utom Tullarne
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Frithiof! heureux ton vaisseau,
Qui fuit sur l’eau.
Quand il me quitte,
Flots! pourquoi l’entrainer si vite?
Astres! protegez le sentier
Du nautonnier.
L’été ramene
Le voyageur, mais sur l’arène
Je ne pourrai pas m’élancer,
Pour t’embrasser.
Car sous la terre
On me couchera solitaire,
Ou près d’un autre époux j’irai
Et languirai.
Aigle, qu’il aime,
Reste, je t’aimerai de même.
Par moi, chaque jour, tes petits
Seront nourris.
Laisse mon voile,
Je te broderai sur la toile
Des ailes d’argent, puis encor
Des serres d’or.
Aigle rapide!
Regarde avec moi la mer vide.
Mont sur mon épaule .... hélas!
Il ne vient pas.
Je serai morte,
Quand il serviendra; mais n’importe.
Et quand ton cri le saluera,
Il pleurera.
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