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20 NATURE DE i/ÉLECTRICITÉ.
tion vl est toujours positive, soit que la molécule m s ap-
proche ou s’éloigne de m’. On peut remarquer, au reste,
que la valeur de la fonction peut dépendre, non-seulement
M /i1
de la grandeur de la variation, — (4—eos‘0), mais en-
COre de la distance r entre les molécules, et que par suite
r peut entrer sous le signe de la fonction en méme temps
que celte méme variable entre dans 1 expression de la
grandeur de la variation.
Lexpression complete de la répulsion entre deux mo-
lécules d’éther m et m’, dontla derniére est fixe et la
premiére, rn, se meut avec une vitesse constante h sur
nne ligne formant 1’angle aigu 0 avec leur ligne de jonc-
tion, sera donc :
Pour le cas ou rn se rapproche de m’:
.... (1);
et pour le cas ou m s’éloigne de rn’:
+ + —cos^e])J .... (2);
Nous allons dabord appliquer ce qui vient d’étre dit,
au cas ou deux molécules rn et m’ se meuvent avec une
vitesse constante et égale dans la méme direction sur des
lignes paralléles entre elles (voir tig. 3).
D’aprés les principes établis par W. Weber*, nous ad-
mettrons que TeHel de laction réciproque entre deux
molécules d’éther se communiquent totalement aux cir-
cuits dans lesquels ils se meuvent. Les mouvements seuls
des circuits peuvent étre observés dans 1 action réci-
proque de deux courants, et les formules empiriques éta-
1 Abhandlungen iiber Elektrodynamische Maasbestimmungen,
p. 309.
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