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268 SECOND AGE DU FER.
autres poid* porte à »a partie supérieure uue petite plaque de
btoiiïc saas ornements. •• I.orange, p, 135.
484. C 6239. Store Husum, stokke. JL., slan-: un endroit
où l’on avait .intérieurement trouvé un diadème cn argent •-• No.
706, un bracctct cn argent pareil au collier No. 703 et 3 bracelets
en argent = No. 712. Ab. 1S69, p. 78. 1S73, p. 6:>.
4S5. C 1143. Teisen. Østre Aker, Aksli.. 1S44, en môme
temps que 7 bracelet* en argent (pirml lesquels les Ni». 713 et
716, 1 = No. 712 ct 4 dc la même facture que le No. 713).
de» fragments dc plusieurs lingot» et annc-iux en argent, une
certaine quantité de fils d’argent tressés, 16 monnaie* coufique»,
et un assez grand nombre de fragment» de monnaies semblables
(le* unes sont des monnaies des colifss obbassides. les autres, dc*
princes nmaiiides datant dc l’époque 7/6—919 apr. f.-C’.),
Cp. Aarb. 1S77, p. 121.
480—188. Monnaies. Presque toujours en argent,
rarement en or. Ne se rencontrent
qu’exceptionelle-ment dans les tombeaux, le plus souvent dans des
trouvailles que l’on doit considérer comme des trésors
enfouis ;’t dessein, ct alors, souvent accompagnées de
bijoux et d’autres objets en argent et en or. Les
monnaies survenant dans les trouvailles de cette époque
doivent, d’après leur âge et leur origine, itre rangées
en 3 classas: I. ■— Monnaies franques et anglaises
du temps compris entre Soo ct S50 (No, 487 ). IL
Monnaies arabes dont la date dc frappe tombe entre
700 et 050 apr. J. —C. No. 4S6 . III. — Monnaies
européennes dc 9S0 à 1050 apr. J.—C., le plus souvent
anglo-saxonnes ct allemandes (N’o. 4S8). - Les deux
premières dc ces 3 classes ne sont représentées
que-par un petit nombre de trouvailles peu considérables.
Les monnaies dc la 3 ème classe se rencontrent un peu
plus souvent et en quantités plus notables trouva
d’une seule fois plus de t6oo exemplaires, voir No. 488).
En résumé, les trouvailles dc monnaies du second âge
du fer sont, en Norvège, bien moins importantes que
clans les deux autres pays seandinnves. Cp. Aarb. 1877,
p. 119—132.
486. Cabine; des monnaies dc l’université dc Christiania.
Trouvée.cn «84« duns lé cimetière de Fredrikshald où l’on rencontra
postérieurement, en différentes fois, une autre monnaie coutîquc ct
deux bracelet* en argent lep. Aarb. 1S77, p. 120). C’est une
monnaie dc calife, de 742—743 apr. J.—C.
4S7. C 754’ ■ Sondre Bo, Sigdal. Busk.. 1S75. à la partie
supérieure d’un tumulus rond, en même temps que des os
iuci-uérés. une paire dc fibules ovales - No, 657, une clef = No. 454
et un fragment d’une libulc No. 660 en broute, une épingle en
argeni, de« perle» en verre, etc., ainsi que 6 autre» monnaies en
argent. La monnaie représentée appartient à l’empereur Loiii* le
Débonnaire; 4 des autres »out du même type, 1 est dc
Charlc-magne et t fit anglo-saxonne (du roi <Zoenvulf dc Mcrcic. 796—
StS). Le» monnoics sont percées d’un trou et ont, en partie au
moins, été munie* d’anneaux de suspension en bronze; elle» ont
donc été portée» comme bijoux. Ab. 1875, p. S9. *
Vidcnsknlw-seîsk. Forh. 1876. No. 10, p 1
488. Cabinet des monnaies de l’université de Christiania.
Aarstad. Ekersund, Stav, 1S3O. –ou« une gro-, pierre, dans un
ébookment, en même temps qu’environ 1600 autre* pièce» de
monnaie cn orgeat du 9 ème au 11 ème siècle, — la plupart
anglo-saxonnes. beaucoup d’ollcmandes, quelqucs-une* »uédohc*. danoise*,
bohémiennes ct coufique*. une libulc ronde en argent (No. 667).
des fragment* d’une fibule pareille, un petit bracelet cn argent,
mit-.ee’ct uni, une bague (No. 722), etc., en argent ct une
brac-téate en or dn premier dgc du fer. Holmboe de numis MI) mcdil
,-evi nuper in Norvegia reprrtis, Part. L H. Christ. 1836, 1S37.
Urda, I, p. 329—368. Grote, BUttt.cr filr MUnxkunde, III, p. 137.
257. — Lu monnaie ici représentée est du roi Knut.
480—516. Epées cl accessoires «l’epée. Les épées
se rencontrent en très-grande quantité dans les
trouvailles dc cette époque; on en connaît environ 1470
exemplaires. Des deux formes principales, â deux
tranchants et a un tranchant, c’est la première cpti a
été la plus employée. Sur 1004 exemplaires, 716 sont
â deux tranchants et 288 A un tranchant (en 468 cas,
la forme de la lame est inconnue). Le rapport entre
la quantité trouvée des 2 formes est donc
très-ap-prôximativement comme 8 : 3. La lame à 2 tranchants
a une longueur assez constante (environ o m., 80).
Elle porte toujours des 2 côtcs un large pan dans le
sens dc la longueur; il est très-rare dc trouver deux
pans parallèles au lieu d’un. D’après la forme dc la
pointe ct d’après quelques autres" raisons, on doit
admettre que cette épée a été, sinon exclusivement, au
moins principalement employée comme arme de taille.
Les épées à un tranchant, au contraire, sont de
longueur très différente, quelquefois même elles sont si
courtes que l’on ne sait s’il faut les nommer épées ou
couteaux .voir No. 500). Le plus grand nombre des
cpées à un tranchant ont toutefois environ la même
longueur que celles à deux tranchants. On admet que
l’epée à un tranchant est la forme d’é|>ée dont il est
parle dans les sagas sous le nom de sax. Cette épée
aussi a été indubitablement employée comme arme
détaille. Parmi les différentes formes d’épées à un
tranchant, celle du No. 496, à dos courbe et tranchant
droit, est rare (voir ci-dessous ce qui est dit du No. 497 .
Malgré la rouille qui couvre la surface on peut
distinguer parfois sur les lames, tant à deux tranchants qu’à
un seul tranchant, des traces de damasquinage.
On trouve souvent des épées à un tranchant qui
n’ont conservé aucun reste de leur poignée; beaucoup
d’entre elles avaient donc une poignée en bois ou en
toute autre matière facilement destructible. La plus
grande portion de la poignée des épées h deux
tranchants, au contraire, a régulièrement été faite cn métal,
comme cela est aussi le cas pour beaucoup de celles
à un tranchant. La poignée d’épcc du second âge
du fer se compose de trois parties: le pommeau ct le
quillon (appelés, dans l’ancienne langue, les Hjalt ■
et que l’on distinguait en >hjalt< supérieur et »hjalt,
inférieur) et la garniture dc la pièce intermédiaire
; dans l’ancienne langue –Meôalkalli<, cheville du milieu).
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