Full resolution (JPEG) - On this page / på denna sida - Sjätte häftet - En förbisedd svensk parismålare. Gustav Albert Andersson. Av Gunnar Löwegren
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Gunnar Löwegren
au principe de la division des tons, tout en
n’em-ployant les couleurs, comme eux, qu’å l’état pur
et en les juxtaposant par touches franches, il
avait gardé intacte sa vision, et la formule suivant
laquelle il a compris, vu et rendu la nature, est
bien à lui.....Dans les morceaux encore in-
expérimentés de début, dans les compositions
raffinées de la fin, la mëme subtilitè de perception,
la mëme finesse de notation se révèlent. Il exprime,
dans toutes, la lumière avec une vivacité, un
sentiment des nuances, une justesse qui nous
im-pressionnent d’ autant pius que jamais le souci de
la lumière, dans son oeuvre, ne se sépare du souci
de l’atmosphére. Et il traduit, comme pas un,
l’atmosphére; il en donne, dans les effets de lu-
mière froide, la sensation la pius aiguë, la pius
vive que j’aie jamais ressentie. Les grands
im-pressionistes sont allés pius loin que lui dans
les effets moelleux du printemps, dans les effets
vibrants de l’été. Aucun d’eux ne s’égale à lui
dans ces effets de lumière froide oü il excelle, et
qui caractérisent son genre.
Det var eskilstunapojken Gustav Albert
Andersson som gick igen i parisaren
Gustave-Albert, den svenska vinterns son
som bättre än någon fransman visste,
uppgående i Seinelandskapets natur, att giva
det ett tillskott av nordisk skärpa.
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