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Franska temata.
127
12.
Karl den Store plägade ofta besöka de skolor, han
grundat. Da han en gäng förhörde lärjungarna, fann han, att de
fattigare familjernas barn voro flitigare, kunnigare oeh mera
begåfvade än de unge adelsmännen. Då lät han de goda
skolgossarne ställa sig på den högra sidan 0111 sig och de
dåliga på den vänstra, hvarefter han till de senare med sträng
stämma yttrade: »Jag sätter föga värde på ert adelskap, om
också andra beundra det. Våren förvissade om, att, så vida I
icke godtgören er försumlighet, I ej hafven något att vänta
af mig.»
Charlemagne visitait souvent (avait coutume [l’habitude] de
visiter) les écoles qu’il avait fondées (établies, créées). Un jour
(Une fois) qu’il examinait (interrogeait) les élèves (écoliers)
(Examinant un jour [Un jour, |en| examinant] les élèves), il
trouva (remarqua) (s’aperçut) que les enfants des | familles |
pauvres (des | familles les | plus pauvres) étaient plus studieux
(diligents) (appliqués), plus instruits (avancés) (forts) et plus
(mieux) doués (plus intelligents [éveillés]) que |ne l’étaient|
(étaient plus studieux, savaient davantage, et étaient mieux
doués que) (faisaient preuve de plus d’application, de savoir
[connaissances] et d’intelligence que) les jeunes nobles (les
enfants de la noblesse). Alors il fit (Il fit alors) placer (mettre)
les bons élèves à sa droite, et les mauvais (paresseux) à sa
gauche (à sa droite les bons élèves, | et| les mauvais à sa gauche
[|et| à sa gauche les mauvais]), et dit |ensuite | (, puis |il| dit)
à ceux-ci (à ces derniers) d’une voix (d’un ton) sévère (d’un ton
plein de sévérité (d’un ton sévère à ces derniers) (, après quoi
il dit à ces derniers d’un ton sévère) (, après quoi, s’adressant
à ces derniers, il dit d’une voix sévère): — Je fais peu de cas
(Je ne tiens aucun compte) de (J’attache peu de valeur [prix]
[Je n’attache que peu de prix] [Je n’attache pas beaucoup de
valeur] à) (J’estime peu) votre noblesse (haute naissance) (Je
fais peu de cas de votre naissance), quoique (bien que) d’autres
(les autres) l’admirent (vous admirent) (en soient éblouis) (lors
même que [quand même] d’autres l’admirent) (si [quoiqu’] elle
en impose à d’autres [aux autres]) (malgré [en dépit de]
l’admiration des autres) (J’attache peu de prix à un nom noble, quand
même d’autres gens l’admireraient) (Si elle en impose à d’autres,
votre noblesse ne m’en impose point [me laisse indifférent])
(Je fais peu de cas de votre noblesse malgré le prix que d’autres
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