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d’autrc, el en/in ce qui, rfans celle proportion, #c trouver
du par rapport aux subsides arriercs. Lc Hoi, apres aeoir
(.ramme res differente points avec l’attenlion du droit et de
familie, ne s’arrete qu aux, besoins actuels de ln Suede, et
se fait un plaisir d’y soumetlre les siens, ainsi que la justice
de ses prétentions.
L’Ambassadeur de France a l’honneur de dcclarer au
nom du Itoi, que Sa Maj:le uniquement occupée de donner sans
cesse au Hoi et au royaime de Suede de nouvelles preuves de
sa sincere amitic, neveul entrer dans aucun eatculc, qui
au-roit pour but le Soulagement de ses propres finances, et
qu’ac-coutumé å préfcrer ä ses avantages personnets, ceux de ses
alliés, le Hoi trouve une double satisfaction, ä se livrer sans
mesure a ce sentiment, avec le royaume de Suede. (Test
d’apres tous ces motifs que Sa Majeslc, pour tenmner ü la
satisfaction rdeiproque des deux Co urs, les discussions, qui
se sont elendes par rapport aux subsides, a resolü de payer ü
la Suede la somme de Douze millions de Livres de France,
ä raison de Quinze Cent mille Livres par an, u commcncer
du premier Janvier j Mil Sept Cent Soixantc Cinq, jusqu’ a la
fin de l’annde Mil Sept Cent Soixantc et Douze.
Le Hoi en donnant une preuve aussi essentielle de ses
tendres sentiments pour la Suede. n’en exige rien de nouveau,
mais regardant comme un des plus prdeieux acanlages de sa
couronnc, la solide durce de son union de tu es et de
principes avec le royaume de Suede, Sa Majesté ddclare, qu’en
prenanl Vengagement de compter ä la Suede Quinze Cent Milte
Livres par an depuis le premier Janvier mil Sept Cent
Soix-ante Cinq, jusqu ä la fm de mil Sept cent Soixante et Douze
Elle s’atlend de la part de celle Couronnc ä un retour d amilié
proportionné au secours qu’Elle en recoit; qu’Elle persistera
dans les sentiments ou Elle a etc jusqu’ a present å fe’yard
de la France; qu’en loutes occasion eile lui donnera des
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