Full resolution (JPEG) - On this page / på denna sida - Carl Gustaf Cederhjelm
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Mon maltre et ma maitresse aussi Mordonnent de dire ici,
En vous assurant de lear part D’ane amitié sans fin ni fard.
Poor cela pen propre je sais, Le coeor percé de mille ennnis De qnitter enfin une cour,
Ou j’ai fait an si long séjoar.
Mais bonoré de vos favears,
Cela augmente mes doulears,
Et, poar voas 1’avoaer toat ne t, Met le comble k mon grand regret
Ce qui calme an pea mes soucis, C est que je vais dans un pays, Qai vous a portée dans son sein Des votre naissance trés-bien.
La, lk, moi qai cbante si bien A toat, je mettrai poar refraia Ce que j’ai ou et entenda De votre royale vertu.
Aa Daipkia.
Sur l’air: Puer natus in Bethlehem, n:o 145 i g. psb.
Far an long séjoar k Paris — k Paris Fran^ais de coeur et d’esprit je suis. Alleluja 1
Seigneur, en ta qualité — qualité Du ciel je voas ai souhaité. Alleloja!
L’accomplissement de mes voeoz — de mes voeax A rendre les franfais beureux. Alleluja!
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