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qui souvent ne décident rient ou décident mal, parce que 1’état
des choses est mal exposé, faute d’ètre assez éclairci; et le
temps le pius précieux se passé en délibérations. — sid. 69: 11
est incapable de prendre sur lui d’envoyer cent hommes à la
guerre; il assemble un conseil pour la pius petite chose. — Sid.
210: Generalens magt är ej stor nog, gentemot officerarnes,
"d’oü il suit qu’ils se croyent avoir le droit de commander
1’année conjointement avec leur ancien, qui est toujours leur
camarade. Jugez de la bonne besogne qu’on peut faire avec
autant de chefs. Deux cent Turrennes à la tete de la pius
belle armée en auraient bientöt vu la fin. — Sid. 228
(Havrin-cour skrifver till M. från Sthlm): Comme malheureusement les
considérations de diète se joignent toujours ici aux affaires
de tout genre, le sénat ne voudra pas se rendre responsable
de révénement, qui, supposé qu’il ne fot pas heureux, serait
rejetté à la charge du sénat par ceux ruëme, qui auraient été
peutetre du mëiue avis et chargés de 1’exécution. Il faut donc
s’attendre que le sénat laissera la liberté du choix des
operations au général et à son conseil de guerre. — Sid. 247
(skrifver M.): Hamilton vill ej directe föreslå Senaten
con-junction med franska arméen, utan bad M. göra det genom
H. — Il m’a fait sentir, qu’il ne croyoit devoir proposer que
ce qui auroit passé dans une délibération en forme avec ses
officiers généraux, et que comme ces idées ne pouvaient leur
ètre commutiiquées, il valoit mieux, que je vous en fisse part. —
Sid. 273: Havrincour beklagar, att generalerne orättvist anse
senaten fiendtlig och tro, att den vill göra dem ansvariga för
utgången. — Sid 278 (M. skrifver): — Mais je ne suis point
étonné, que 1’irrésolution règne dans des tëtes, qui ont toujours
présens les risques qu’il peut y avoir à prendre sur soi. —
Sid. 292 (Marqu. d’H. skrifver): S’ils connaissent bien le génie
de leur nation ils doivent bien pius appréhender pour eux
memes les suites d’une conduite mölle, timide et enfin de leur
inaction. Tous les parties vigoureux, fussent-ils temeraires,
ils auront toujours 1’approbation publique: et ces messieurs ne
doivent pas avoir oublié, qu’en Finlande le genéral Wrangel
passa pour un héros pour avoir fait un coup hardi, qui à en
juger sainement n’étoit autre chose qu’une étourderie et une
faute capitale, pardonable tout au pius à un grenadier, mais
inexcusable dans un officier. — Sid. 330 f. (M. skrifver):
Tous les généraux se croient eri droit de ne faire que ce qu’ils
jugent à propos; plusieurs étant du parti contraire font du pis
qu’ils peuvent, et le général avou-e, qu’il ne peut s’empècher
de les employer à leur tour à moios de leur faire leur procès,
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